Chapitre 48, Le Général De Gaulle, du triomphe à la démissiopn, 1962-1969.
Page 1 sur 1
Chapitre 48, Le Général De Gaulle, du triomphe à la démissiopn, 1962-1969.
Chapitre 48
Le Général De Gaulle
Du Triomphe à la Démission;
1962-1969.
I)Le Général De Gaulle face à de nouvelles oppositions, 1962-1965.
Becacoup pensaient que De Gaulle avait fait son temps, et qu'il a avait rendu à la France ce qu'il voulait qu'elle soit.
A)La Réforme constitutionnelle de 1962.
Le Gouvernement Georges Pompidou
Le 14 Avril 1962, De Gaulle demande la démission de Michel Debré, et le remplaça par Pomipidou.
Dans la constitution, il n'était pas écrit que le Président avait le pouvoir de démissionner le 1er ministre.
Pompidou n'étit pas un homme politique, ni un haut fonctionnaire.
Dans le nouveau gouvernbement : ministres de l' UNR, du CNIP, du MRP.
Le 15 mai 1962, De Gaulle fait une conférence ou il brocadra ironiquement les partisans de l' Europe. Les ministres MRP démissionnèrent après coups.
La Bataille constitutionnelle de 1962.
De Gaulle voulait donner au président élu une solide base populaire pour lui permettre de résister à la pression des partis et préserver la force de l'exécutif.
Le 28 septmbre, date du referundum.
LES Opposants étaient des nostalegiques de la démocratie parlementaire, et n'avaient pas confiance en les prédominance d'un seul. Pour Mendès France, on vote pour un parti pour le programme, tandis que l'on vote pour un Homme pour sa personne.
Le 5 Octobre, les dépûtés votèrent une motion de censure et Pomipidou fut renversé. De Gaulle dissolua l' assemblée.
Le referundum : 62% de "oui". Victoire de De Gaulle.
La défaite des partis aux élections législatives de novembre 1962.
De Galle intervient dans cette campagne pour les éléctions législatives.
Majorité se rassembla dans une union pour la Cinquième République (UNR + UDT+ QQ indépendants et MRP)
Le Cartel des "non" :SFIO, Radicaux, MRP, CNIP.
Le PCF restait isolé.
P¨remie tour : absention de 31%
32% pour l' UNR-UDT.
Au second tpour, victoire écrasante de l'UNR-UDT : 233sièges.
SFIO et PCF avaient progréssé et fomaient la part la + importante de l'opposition.
B)Les choix pour l'Indépendance
X
C)L'élection présidentielle de décembre 1965
De plus en plus de critiques sur le Général De Gaulle.
L'épisode Gaston Defferre
En septembre 1963, l' Express commença la publication d'un article brossant le portrait du candidat antigaulliste idéal, sous le nom de monsieur X. Au fil des seamines, ce poryrait ressemblairt de plus en plus à Gaston Defferre (gauche modérée)
Il se proposait simplememnt de rendre le mandat présidentiel à 5 ans et mde modifier l' article 16, sinon, il était favorbale à la 5ème république.
Progès de rassembler dans une formation démocratique-socialiste toutes les formations de la SFIO au MRP.
Mais il se retira de l compétition car n'avait pas d'appui suffisant des partis.
La Campagne pour l' élection presidentielle
Premier tour le 5 décembre 1965.
Mittérand se présenta et fut soutenu par la Fédération de la Gauche Démocratique et socialiste (FGDS) : SFIO+ Radicaux+ convention des institutions républicaines+ soutien du PCF, de certainsc club, de la ligue des droits de l' Homme et du PSU.
Autre candidats : Vignancourt pour l' extrême droite; Marcilhacy pour le centre droit, et Barbu (idéaliste partisan des réformes sociales)
De Gaulle se présenta comme seul a pouvoir sauver le régime : "moi ou le chaos" (selon la presse).
La difficile réélection du général De Gaulle.
Au premier tour, le général se trouvait en ballotage. (44,6%). Mittérand : 31%.
Mittérand atténua son discour pour le 2ème tour afin de rafler les voix centristes.
De Gaulle fut réélu par 54,4% des suffrages, mais il pensait pourtant être élu au 1 er tour.
II)Les Organisations politiques dans les années 1960
A)Une gauche ébranlée
2 grands partis à gauche : SFIO et PCF.
Le Parti communiste : une timide évolution.
Naissance de la 5ème République fut synonyme de revers électoraux pour le PCF.
Lui qui était au dessus des 25% sous la 4ème, avait du mal a monter les 20% sous la 5ème.
Méthodes staliniennes, approbation de l'entrée des chars soviétiques à Budapest en 1956, par la révélation des crimes de Staline =) tout ceci affaiblissé le PCF.
Il vota une seule fois "oui" en faveur de De Gaulle, ce fut pour le referundum ratifiant les accords d' Evian.
Critique du PCF au sein même de l' UEC...
Mais peu à peu, au sein du parti, une certaine autonomie fut accordée pour la création artistiuqe., et un dialogue avec les chrétiens s'ouvrit.
Il se rapproche des autres partis de gauche, et sortit peu à peu de son isolement?
Marchais remplaça Thorez au secrétariat du parti en 1969 (en fait, Thorez était malade, et Marchais obtint le poste de secrétaire adjoint, mais il eut la réalité du pouvoir.°
La SFIO : un parti en déclin.
Virage marxisant avec au secrétariat général depuis 1946 Guy Mollet, qui incarnait la tradition marxiste.
Perte importante du nombre d' adhérents : 350 000 en 1946, 50 000 en 1969.
des ritiques et des divisions au sein du parti : Depreux se retire de la SFIO et créea le Parti Socialiste autonome/ (PSA).
Mollet, à la tête du parti jusqu'en 1969, bloqua toute tentative de rénovation réelle.
La gauche indépendante : des tentatives de renouvellement.
Nombreuses petites organisations : PSU, Union de la Gauche socialiste, mouvement de libération populaire (chrétiens de gauche), des trotskystes.
Nouvelle forme d' organisations politique : les clubs. À partir de 1958. (club Jean Moulon, Citoyen 60, Démocratie nouvelle...)
Clubs attirés de nombreux intellectuels, hauts fonctionnaires, universitaires, syndicalistes.
B)Un Centre laminé.
Radicaux et MRP sembaient être issu de, et pour, la 4ème République.
De plus, peu à peu, bipolarisation politique...
le Parti radical, qui avait connu une résurection à la libération, entra dans une phaze de déclin.
Son udiance se réduisa peu à peu autour d' a peine 7%...
Création en Juillet 1962 du Rassemblement Démocratique (Parti Radical + UDSR)
Le MRP, tiraillé entre droite et gauche.
Fevrier 1966, fondation du Centre Démocratique (MRP+CNIP) : organnsation de Centre droit.
C)Une droite dominée par le mouvement Gaulliste.
UNR dominait la droite française.
Le Mouvement gaulliste : la fidèlité au général
UNR était un parti de cadre d'environ 25 000 adhérents, voulant éviter le nb d'adhérents plus iùmportnat qui aurait amené à des nuances et clivages.
UNR joussait de la popularité extrême du Général De Gaulle.
L'éclatement de la droite classique
Droite classique et librale (CNIP : centre national des indépendants et paysans) se disloqua en 1962.
VGE s'était séparé du CNIP en créant le groupe des Républicains Indépendants.
L'isolement de l' extreme droite.
OAS dislocquée et chef en prison privaitn l' extrême droite de perspectivs immédiates.
Nostalegiques de VICHY et Catholiques réactionnaires...
Création du Mouvement Nationaliste du Progrsè (MNP)
Création du "Mouvement Occident" en 1964.
III)La Crise de Mai 1968 et le départ de De Gaulle.
A)Les conditions de la crise.
L'usure politique du gaullisme.
Longtemps que le général De Gaulle était au pouvoir.
Reconduit à l' Elysée, De Gaulle rappellé Pompidou au poste de 1 er ministre.
Opposition s'organisait: FGDS de Mittérand (SFIO+radicaux+clubs de la convention des ontitutions républicaines)
Elections législatives de maes 1967: taux de participation de 80%.
Gaullistes : 38%, PCF 22,5%, FGDS 18,7%...
Deuxième tour pareil : mais affaiblissement tout de même des gaullistes, qui restaient tout de même majoritaires.
Les tensions sociales : 1968
Situation économique saine...
en 1968, 50 000 chomeurs : rapidité des mutations économiques.
Depuis milieu 1967, nombreuses grèves spontannées remettant en cause les patrons et les chefs syndicaus trop timorés.
Malaise dans les université, dans le monde étudiant, d'ou partit la crise. (mais universités du monde dans cette situtaion).
Inspiration du CHE, de la Révolution Cubaine, des Black Panters, les comabts palestiniens...
Gauchisme chez les étudiants (trotskystes, maoistes, communistes anti staliniens, anarchisme)
Une crise de civilisation ?
X
B)Mai 1968.
L'explosion étudiante du 2 au 13 Mai.
Nanterre, campus surpeuplé, ou les étudiants se mobilisèrent pour que les garçons puisssent aller voir les filles dans leur dortoirs le soir.
Le 22 Mars 1968, des gauchistes, entrainés par Cohn Bendit, occupèrent la salle du conseil de la faculté de lettre de Nanterre pour protester contre les sacntions prises a l'encondre de leurs camarades.
Devant les prepréssions, l' UNEF décalra la grève générale dan,s l'université.
Nuit des barricades le 10 et 11 mai = violents afrontementrs entre police et les jeunes.
La Sorbonne, à peine réoverte, fut réoccupée par les étudiants.
Jusque là, les partis et syndicats étaient hostiles a cette mobilisation qu'ils ne controlaient pas.
Cependant, le 13 mai, pour protester contre les repressions, les syndicats déclenchèrent une grève générale et ùmanifestèrent avec les étudiants.
L'agitation sociale du 14 au 27 Mai
Grève se généralise peu à peu à partir de grèves spontannées.
10 milions de grèvistes.
Les syndicats tentaient d'encadrer cces "grèves sauvages".
Le sidées d' autogestion firent leur apparition.
Cohn Bnedit avait été intedit de séjour.
Accords de Grenelles le 27 Mai, entre syndicats ouvriers et CNPF : hausse du SMIG de 35%, hausse des salaires de 10%, reconnaissance de sections syndicales dans l'entreprise, réduction d'une à deux heures la durée hebdomadiare de travail.
La base repousa ces avancées, hua les négociateurs, et poursuivit le mouvement.
L'entrée en scène des politiques du 27 Mai au 23 Juin.
Le 27 mai, meeting de l' extreme gauche ay stade Charléty qui prévoayt l' imminence d'une solution révolutionnaire.
LE 29 Mai, De Gaulle quitta le pays ( à Baden Baden) sans le dire à personne : vide du pouvoir.
De Gaulle dissout l' Assemblée Nationale, il appellait les français à trancher.
Le lendemain, 500 000 personnes manifestent sur les champs Elysées pour soutenir De Gaulle.
Le 12 juin, le gouvernement dissout les mouvements gauchistes, et le 16, il ordonne l' évacuation de la Sorbonne.
Les élections de juin voit un raz de marée gaulliste.
La majorité, les gaullistes, se regroupent sous une nouvelle etiquette : Union, pour la Defense de la République ( UDR ). L' UDR acquit la majorité absolur au 2nd tour avec 293 sièges.
C)Les conséquences de Mai 1968.
Mai 1968 et l' évolution de la société;
Periode revela un conflit de generation. (jeunes contre vieux conservateurs).
Recherche de liberté et d' épanouissement de l'individu.
Progression des unions libres, le mariage étant considéré comme une institution bourgeoise.
Dans le monde professionel, l'idée d' autogestion fit des adeptes, surtout à la CFDT.
Mouvement féministe : mouvement de libération des femmes (MLF).
Dans les années suivantes, les lois abolirent la prépondérance de l' homme en matière d' autorité parentale et conjugale.
Loi Veil de 1979 : IVG =) dans l'esprit de Mai 1968.
Revendications des homosexuels, des immigrés, revendications écologiques, et dénonciation de l' industrialisation.
Les conséquences économiques et financières de Mai 1968.
Les grèves ont causées une importante baisse de la production matérielle.
Domaine financier le plus touché : augmentation des salaires, alourdissement des couts imposé aux entreprises par de nouvelles charges et instauration de la 4ème semaine de congès payés.
L'inflation se relança, et De Gaulle se refusa à pratiquer une dévaluation.
Le Départ du Général De Gaulle.
A la suite des élections legislatives de juin, Pompidou démissiona du poste de 1er ministre.
Il fut remplacé par Maurice Couve de Murville.
Loi du 12 novembre 1968 sur l' enseignement suppérieur : universités autonomes sauf sur le plan financier ( elles peuvent se livrer à toutes sortes d' innovations pédagogiques).
De Gaulle, pr un referundum le 27 avril 1969, sur une question de réorganisation du territoire, plaça en jeu son mandat, et si la réponse lui fut déffavorable, il démissionnerait.
Le non l'emporta avec 53%. Le soir même, De Gaulle annonça sa démission.
Le Général De Gaulle
Du Triomphe à la Démission;
1962-1969.
I)Le Général De Gaulle face à de nouvelles oppositions, 1962-1965.
Becacoup pensaient que De Gaulle avait fait son temps, et qu'il a avait rendu à la France ce qu'il voulait qu'elle soit.
A)La Réforme constitutionnelle de 1962.
Le Gouvernement Georges Pompidou
Le 14 Avril 1962, De Gaulle demande la démission de Michel Debré, et le remplaça par Pomipidou.
Dans la constitution, il n'était pas écrit que le Président avait le pouvoir de démissionner le 1er ministre.
Pompidou n'étit pas un homme politique, ni un haut fonctionnaire.
Dans le nouveau gouvernbement : ministres de l' UNR, du CNIP, du MRP.
Le 15 mai 1962, De Gaulle fait une conférence ou il brocadra ironiquement les partisans de l' Europe. Les ministres MRP démissionnèrent après coups.
La Bataille constitutionnelle de 1962.
De Gaulle voulait donner au président élu une solide base populaire pour lui permettre de résister à la pression des partis et préserver la force de l'exécutif.
Le 28 septmbre, date du referundum.
LES Opposants étaient des nostalegiques de la démocratie parlementaire, et n'avaient pas confiance en les prédominance d'un seul. Pour Mendès France, on vote pour un parti pour le programme, tandis que l'on vote pour un Homme pour sa personne.
Le 5 Octobre, les dépûtés votèrent une motion de censure et Pomipidou fut renversé. De Gaulle dissolua l' assemblée.
Le referundum : 62% de "oui". Victoire de De Gaulle.
La défaite des partis aux élections législatives de novembre 1962.
De Galle intervient dans cette campagne pour les éléctions législatives.
Majorité se rassembla dans une union pour la Cinquième République (UNR + UDT+ QQ indépendants et MRP)
Le Cartel des "non" :SFIO, Radicaux, MRP, CNIP.
Le PCF restait isolé.
P¨remie tour : absention de 31%
32% pour l' UNR-UDT.
Au second tpour, victoire écrasante de l'UNR-UDT : 233sièges.
SFIO et PCF avaient progréssé et fomaient la part la + importante de l'opposition.
B)Les choix pour l'Indépendance
X
C)L'élection présidentielle de décembre 1965
De plus en plus de critiques sur le Général De Gaulle.
L'épisode Gaston Defferre
En septembre 1963, l' Express commença la publication d'un article brossant le portrait du candidat antigaulliste idéal, sous le nom de monsieur X. Au fil des seamines, ce poryrait ressemblairt de plus en plus à Gaston Defferre (gauche modérée)
Il se proposait simplememnt de rendre le mandat présidentiel à 5 ans et mde modifier l' article 16, sinon, il était favorbale à la 5ème république.
Progès de rassembler dans une formation démocratique-socialiste toutes les formations de la SFIO au MRP.
Mais il se retira de l compétition car n'avait pas d'appui suffisant des partis.
La Campagne pour l' élection presidentielle
Premier tour le 5 décembre 1965.
Mittérand se présenta et fut soutenu par la Fédération de la Gauche Démocratique et socialiste (FGDS) : SFIO+ Radicaux+ convention des institutions républicaines+ soutien du PCF, de certainsc club, de la ligue des droits de l' Homme et du PSU.
Autre candidats : Vignancourt pour l' extrême droite; Marcilhacy pour le centre droit, et Barbu (idéaliste partisan des réformes sociales)
De Gaulle se présenta comme seul a pouvoir sauver le régime : "moi ou le chaos" (selon la presse).
La difficile réélection du général De Gaulle.
Au premier tour, le général se trouvait en ballotage. (44,6%). Mittérand : 31%.
Mittérand atténua son discour pour le 2ème tour afin de rafler les voix centristes.
De Gaulle fut réélu par 54,4% des suffrages, mais il pensait pourtant être élu au 1 er tour.
II)Les Organisations politiques dans les années 1960
A)Une gauche ébranlée
2 grands partis à gauche : SFIO et PCF.
Le Parti communiste : une timide évolution.
Naissance de la 5ème République fut synonyme de revers électoraux pour le PCF.
Lui qui était au dessus des 25% sous la 4ème, avait du mal a monter les 20% sous la 5ème.
Méthodes staliniennes, approbation de l'entrée des chars soviétiques à Budapest en 1956, par la révélation des crimes de Staline =) tout ceci affaiblissé le PCF.
Il vota une seule fois "oui" en faveur de De Gaulle, ce fut pour le referundum ratifiant les accords d' Evian.
Critique du PCF au sein même de l' UEC...
Mais peu à peu, au sein du parti, une certaine autonomie fut accordée pour la création artistiuqe., et un dialogue avec les chrétiens s'ouvrit.
Il se rapproche des autres partis de gauche, et sortit peu à peu de son isolement?
Marchais remplaça Thorez au secrétariat du parti en 1969 (en fait, Thorez était malade, et Marchais obtint le poste de secrétaire adjoint, mais il eut la réalité du pouvoir.°
La SFIO : un parti en déclin.
Virage marxisant avec au secrétariat général depuis 1946 Guy Mollet, qui incarnait la tradition marxiste.
Perte importante du nombre d' adhérents : 350 000 en 1946, 50 000 en 1969.
des ritiques et des divisions au sein du parti : Depreux se retire de la SFIO et créea le Parti Socialiste autonome/ (PSA).
Mollet, à la tête du parti jusqu'en 1969, bloqua toute tentative de rénovation réelle.
La gauche indépendante : des tentatives de renouvellement.
Nombreuses petites organisations : PSU, Union de la Gauche socialiste, mouvement de libération populaire (chrétiens de gauche), des trotskystes.
Nouvelle forme d' organisations politique : les clubs. À partir de 1958. (club Jean Moulon, Citoyen 60, Démocratie nouvelle...)
Clubs attirés de nombreux intellectuels, hauts fonctionnaires, universitaires, syndicalistes.
B)Un Centre laminé.
Radicaux et MRP sembaient être issu de, et pour, la 4ème République.
De plus, peu à peu, bipolarisation politique...
le Parti radical, qui avait connu une résurection à la libération, entra dans une phaze de déclin.
Son udiance se réduisa peu à peu autour d' a peine 7%...
Création en Juillet 1962 du Rassemblement Démocratique (Parti Radical + UDSR)
Le MRP, tiraillé entre droite et gauche.
Fevrier 1966, fondation du Centre Démocratique (MRP+CNIP) : organnsation de Centre droit.
C)Une droite dominée par le mouvement Gaulliste.
UNR dominait la droite française.
Le Mouvement gaulliste : la fidèlité au général
UNR était un parti de cadre d'environ 25 000 adhérents, voulant éviter le nb d'adhérents plus iùmportnat qui aurait amené à des nuances et clivages.
UNR joussait de la popularité extrême du Général De Gaulle.
L'éclatement de la droite classique
Droite classique et librale (CNIP : centre national des indépendants et paysans) se disloqua en 1962.
VGE s'était séparé du CNIP en créant le groupe des Républicains Indépendants.
L'isolement de l' extreme droite.
OAS dislocquée et chef en prison privaitn l' extrême droite de perspectivs immédiates.
Nostalegiques de VICHY et Catholiques réactionnaires...
Création du Mouvement Nationaliste du Progrsè (MNP)
Création du "Mouvement Occident" en 1964.
III)La Crise de Mai 1968 et le départ de De Gaulle.
A)Les conditions de la crise.
L'usure politique du gaullisme.
Longtemps que le général De Gaulle était au pouvoir.
Reconduit à l' Elysée, De Gaulle rappellé Pompidou au poste de 1 er ministre.
Opposition s'organisait: FGDS de Mittérand (SFIO+radicaux+clubs de la convention des ontitutions républicaines)
Elections législatives de maes 1967: taux de participation de 80%.
Gaullistes : 38%, PCF 22,5%, FGDS 18,7%...
Deuxième tour pareil : mais affaiblissement tout de même des gaullistes, qui restaient tout de même majoritaires.
Les tensions sociales : 1968
Situation économique saine...
en 1968, 50 000 chomeurs : rapidité des mutations économiques.
Depuis milieu 1967, nombreuses grèves spontannées remettant en cause les patrons et les chefs syndicaus trop timorés.
Malaise dans les université, dans le monde étudiant, d'ou partit la crise. (mais universités du monde dans cette situtaion).
Inspiration du CHE, de la Révolution Cubaine, des Black Panters, les comabts palestiniens...
Gauchisme chez les étudiants (trotskystes, maoistes, communistes anti staliniens, anarchisme)
Une crise de civilisation ?
X
B)Mai 1968.
L'explosion étudiante du 2 au 13 Mai.
Nanterre, campus surpeuplé, ou les étudiants se mobilisèrent pour que les garçons puisssent aller voir les filles dans leur dortoirs le soir.
Le 22 Mars 1968, des gauchistes, entrainés par Cohn Bendit, occupèrent la salle du conseil de la faculté de lettre de Nanterre pour protester contre les sacntions prises a l'encondre de leurs camarades.
Devant les prepréssions, l' UNEF décalra la grève générale dan,s l'université.
Nuit des barricades le 10 et 11 mai = violents afrontementrs entre police et les jeunes.
La Sorbonne, à peine réoverte, fut réoccupée par les étudiants.
Jusque là, les partis et syndicats étaient hostiles a cette mobilisation qu'ils ne controlaient pas.
Cependant, le 13 mai, pour protester contre les repressions, les syndicats déclenchèrent une grève générale et ùmanifestèrent avec les étudiants.
L'agitation sociale du 14 au 27 Mai
Grève se généralise peu à peu à partir de grèves spontannées.
10 milions de grèvistes.
Les syndicats tentaient d'encadrer cces "grèves sauvages".
Le sidées d' autogestion firent leur apparition.
Cohn Bnedit avait été intedit de séjour.
Accords de Grenelles le 27 Mai, entre syndicats ouvriers et CNPF : hausse du SMIG de 35%, hausse des salaires de 10%, reconnaissance de sections syndicales dans l'entreprise, réduction d'une à deux heures la durée hebdomadiare de travail.
La base repousa ces avancées, hua les négociateurs, et poursuivit le mouvement.
L'entrée en scène des politiques du 27 Mai au 23 Juin.
Le 27 mai, meeting de l' extreme gauche ay stade Charléty qui prévoayt l' imminence d'une solution révolutionnaire.
LE 29 Mai, De Gaulle quitta le pays ( à Baden Baden) sans le dire à personne : vide du pouvoir.
De Gaulle dissout l' Assemblée Nationale, il appellait les français à trancher.
Le lendemain, 500 000 personnes manifestent sur les champs Elysées pour soutenir De Gaulle.
Le 12 juin, le gouvernement dissout les mouvements gauchistes, et le 16, il ordonne l' évacuation de la Sorbonne.
Les élections de juin voit un raz de marée gaulliste.
La majorité, les gaullistes, se regroupent sous une nouvelle etiquette : Union, pour la Defense de la République ( UDR ). L' UDR acquit la majorité absolur au 2nd tour avec 293 sièges.
C)Les conséquences de Mai 1968.
Mai 1968 et l' évolution de la société;
Periode revela un conflit de generation. (jeunes contre vieux conservateurs).
Recherche de liberté et d' épanouissement de l'individu.
Progression des unions libres, le mariage étant considéré comme une institution bourgeoise.
Dans le monde professionel, l'idée d' autogestion fit des adeptes, surtout à la CFDT.
Mouvement féministe : mouvement de libération des femmes (MLF).
Dans les années suivantes, les lois abolirent la prépondérance de l' homme en matière d' autorité parentale et conjugale.
Loi Veil de 1979 : IVG =) dans l'esprit de Mai 1968.
Revendications des homosexuels, des immigrés, revendications écologiques, et dénonciation de l' industrialisation.
Les conséquences économiques et financières de Mai 1968.
Les grèves ont causées une importante baisse de la production matérielle.
Domaine financier le plus touché : augmentation des salaires, alourdissement des couts imposé aux entreprises par de nouvelles charges et instauration de la 4ème semaine de congès payés.
L'inflation se relança, et De Gaulle se refusa à pratiquer une dévaluation.
Le Départ du Général De Gaulle.
A la suite des élections legislatives de juin, Pompidou démissiona du poste de 1er ministre.
Il fut remplacé par Maurice Couve de Murville.
Loi du 12 novembre 1968 sur l' enseignement suppérieur : universités autonomes sauf sur le plan financier ( elles peuvent se livrer à toutes sortes d' innovations pédagogiques).
De Gaulle, pr un referundum le 27 avril 1969, sur une question de réorganisation du territoire, plaça en jeu son mandat, et si la réponse lui fut déffavorable, il démissionnerait.
Le non l'emporta avec 53%. Le soir même, De Gaulle annonça sa démission.
Scalp- Messages : 82
Date d'inscription : 11/11/2010
Age : 32
Localisation : Isbergues
Sujets similaires
» Chapitre 43, Le gouvernement du Général De Gaulle.
» Chapitre 47, Les débuts de la Vème République, Une France nouvelle, 1958-1962.
» Chapitre 49, Georges Pompidou, entre la continuité et l'ouverture, 1969-1974.
» Chapitre 19 , l'après Guerre
» Chapitre 30, La Crise en France et ses séquelles
» Chapitre 47, Les débuts de la Vème République, Une France nouvelle, 1958-1962.
» Chapitre 49, Georges Pompidou, entre la continuité et l'ouverture, 1969-1974.
» Chapitre 19 , l'après Guerre
» Chapitre 30, La Crise en France et ses séquelles
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum