fin Civilisations du Proche Orient Ancien

Matériaux et techniques des constructeurs du palais :

l' argile est le matériel le plus important, le palais est battit en argile, plus précisemment en brique d' argile, soient crues séchées au soleil, soient cuites dans un four. Les murs sont en brique cru, mais les fondations sont brique cuite. Cxes murs étaient recouvert d' un très large enduit ( 15 à 20 cm ) d' argile, et dans certians cas, des enduits de platre blanc. Entre les briques il y avait également de l' argile, on parle alors de mortier. L' usage du bois est pratiquement nul. Les sols étaient en terre battue, ou alors recouvert jusqu' a 20cm d' enduit de platre blanc. Parfois il y a un carrelage de briques cuites. Dans le cas des baignores, pour imperméabiliser le sol, du bitume est présent, et qui a l' avantage d' être imperméable. La couverture ( toit ) était plate. On utilisait des poutres, et quand les espaces étaient très larges, on plaçait des poutres en position oblique qui partaient des murs vers le plafond. Les canalisations étaient très évoluées. Nous sommes donc avec un palais fait de matériaux massif, qui apparait plutot comme un palais forteresse.

Plan du palais :

Cinqs secteurs ont été distingués:
le premir secteur, au nord est du palais, est composé de la muraille et de la porte fortifiée par deux tours. On entrait dans un passage gardé par de nombreux gardes, et des administrateurs, qui y avaient un bureau où ils rédigaient les entrées et les sorties. A l' heure de la sieste, la porte du palais est fermée^^. Nous sommes dans une société ou les portes sont très importantes. Quand on entre, on rentrre dans la Grande cour, de 48 mètres sur 32, carrelée de briques cuites, ou parfois il y avait des cérémonies culturelles.
Le second secteur, secteur religieux, secteur des plus important du palais, espace des Dieux et des divinités. Espace assez étroiot par rapport au reste du temple est essentiel pour ce palais, palais qui est donc extrêmemtn important car il y a donc des Dieux dans le palais.
Le troisième secteur, à l 'est du palais, prêt du secteur des Dieux, est l' espace économique, avec des pièces en longueur le long de couloirs, où l' on stock tout, espace très surveillé, en particulier les secteurs où l' on stockait le métal qui étaient d' ailleurs surveillés par des administrateurs. Anecdote, il y avait un espace ou on stocké la glace ( le roi adorait les sorbets ). Il y avait une porte par laquelle les marchandises arrivaient, et cette porte amenait également à l' espace des Dieux, car cela participait au passage du Dieu Nergal, dieu des enfers.
Le secteur quatre, la "maison du roi". Pour y arriver, on arrivait à la "cour du palmier", et dans cette cour il y avait des cérémonies religieuses, puis on entre dans une des pièce du trone, et à partir de là on entre dans une nouvelle pièce du trône ou avaient lieu les cérémonies religieuses les plus importantes. Le roi a un énorme espace à lui dans le palais, c' est son espace officiel. C 'est là qu' il reçoit les Grands, les embassadeurs, ses compagnons d' armes, et dans une petite cour à coté de la salle du trone, il y avait les cuisines du palais. Les serviteurs étaient logés dans de petites piéces derrière la salle du trone. Il y avait un étage.
Le secteur cinq, la "maison des femmes", ou il y a le harem. La reine en titre, la reine numéro un, celle qui a été épousée, elle vit avec le roi, pas dans le harem, elle dort avec, partage la chambre du roi. En revanche, les autres, autres reines, cousines, harem ( plus de 150 femmes ), sont stocké dans l' espace cinq. Dans cet espace, il y avait un espace administratif qui entretient les femmes.

La décoration du palais :

Les archéologues l' ont trouvé presque vide, car pillé par les troupes du roi de Babylone. Ce palais était décoré de très belle peintures. Sur ces peintures, nous aovns le roi comme chef du culte religieux, ici comme d' jhab représenté plus grande que les auutres, qui méne la prosséssion ( cf p.7 du fassicule ). Les hommes portent des bijoux, et, dérrière le roi, les personnages sont les sacrificateurs qui aménent un boeuf ( animal ultime pour un sacrifice qui vaut du paté ).Les peintures p.8 et 9 du fassicule, était dans la "cour du palmier". C' est un grand rectangle qui copie un tapis oou une peinture murale. Il y a deux grands rectangles, l' un au dessus de l' autre? Dans le rectangle du bas il y a deux déesses de la fécondité, et dans le rectangle du haut il y a le roi de Mari, précédé de la déesse de l' intersséssion ( entre le roi et Dieu). Ici, le roi est devant la déesse Ishtar, représentée avec son animal le félin. Le roi la touche, et celle-ci lui donne les symboles du pouvoir que sont des symboles d' architectes..Sur la droite, il y a un palmier sur lequel des personnages vont y ceuillir des dattes. Trois animauyx représentés : tauraux, grifon, sphynx.. Cette peinture représente une cérémonie religieuse dans la "cour du palmier". Ces peintures sont éssentielles pour ocnnaitre le rôle du roi dans le palais. Les peintures se sont beaucoup moins bien conservées qu' en Egypte, ce qui est le problème de l' archéologie en Orient.

Le roi dans son Palais :

Nous allons utiliser les textes de J.M Durand et de D.Charpin, textes découvert dans le palais de Mari.
Le palais s' appel en Akkadien "la maison Grande", "E-GAL" en Sumérien, et "Ekallum" en Akkadien. Le roi de Mari, se fait appelé dans les textes " roi des bédouins et des Akkadiens", ça veut dire que c' est une royauté qui s' éxerce sur deux population afin de les faire vivre en harmonie. Les Bédouins sont les peuples qui vivient sous la tente, ceux qui bougent dans la steppe. Et dans cette région, le roi, d' origuine Bédouin, il y avait deux population.
Les rituels de Sacre :
L' onction par l' huile : le filos du roi, avant de monter sur le trône était oint d' huile, d' huiles parfumées, et cela veut dire qu' il était sacralisé et apte à régner. De même quand une femme se marie, le père lui met une goutte d' huile sur le front. L' huile est un liquide imoprtant au Proche Orient, car il sacralise. L' huile sacralise, et un autre liquide iomportant au Proche Orient, le sang, lui purifie. On sait qu' il est oint grâce aux textes. C' est quelque chose que l' on retrouve uassi dans la Bible.
On reconnait le roi dans le palais, car c' est celui sur le trône. A Mari nous n' avons pas retrouvé le trône, volé, mais l' esplanade sur laquelle il était placé. Grâce aux textes, nous savons aussi que le roi est reconnaissable par son sceptre. On a la liste des vétements du roi, qui étaient plus décorés que ceux des autres, mais ce qui le distingue, c' est surtout son grand bonnet, marque du roi. Autour du roi, dans son palais, circvule un personnel, qui mange avec lui. Le lien du banquet est très important. Manger à la table du roi est un privilége, privilége dont jouit la première épouse.. Ces personnes qui gravuitent autour du roi sont des administrateurs, des officiers (détenteurs d' Offices), qui sont parfois des Archivistes, des généraux de l' arme ( surtout ceux de la garde royale ). Toute la garde du roi est originaire des fils de la gauche, du même sang du roi. Il ya également un personnel important de la diplomatie de l' époque, des messagers, qu' on appel les "fils du message", "mâr siprim" en Akkadien. Les messagers étaient très important dans le royaume. Egalement autour du roi, tout le personnel chargé des relations avbec les dieux, les pretres, mais les plus importants sont les pécialistes qui voient l' avenir. En effet, le roi est toujours encadré de ces spécialistes. IL y avaiut plusieurs spécialistes de l' avenir :
le devin, qui pratique la divination déductive, technique qui se transmettait de père en fils, art par lesquel en observant les entrailles d' un animal ou les choses de la nature ( courant du fleuve, direction des oiseaux...), de dire si c' est positif ou non pour le roi.. On pouvait aussi fabriquer le présage, en mettant de l' huile dans l' eau et voir la forme que cela prend par exemple. Quand a a faire au roi, on a un mode de divination plus poussé et plus cher. On prend un agneau, on l' ouvre en deux, on regarde l' aspect gébéral des vissaires, on regarde en particulier du foi ( on a retrouvé des maquettes de foi^^) par uine technique de quadrage et de voir si il y a des signes des Dieux positifs ou non, cette discipline est appelée "hépatoscopie". L' astronomie est une discipline de prédication, mais plutot au 1er millénaire, donc pas à notre période de Mari.
A coté de ces devins, il y a aussi les prophètes. Un millénaires avant les prophètes bibliques. Les prophètes, c' est la divination inspirée. Il ya deux types de prophètes : le prophète extatique, qui baragouine des choses incompréhensible, et on interpréte ce message.. Il est un peu fou, mais pour cette civilisation, le fou n' est pas forcement indigne de divulger une prophétie. L' autre type de prophète est " l' appelé", qui est au service d' une divinité dans un temple, et parfois le dieu de ce temple parle a travers sa bouche. Les diue x les plus importants dans le palais le Mari et qui ont les principaux "appelé" sont le dieu de l' orage, Addu, et le Dieu de l' Euphrate, Dagan. Quand " l' appelé" arrive devant le roi, le message divin qu' il dit est retranscrit, écrit. Ce sont des messages très fondamentaux le plus souvent ( tiu seras un roi qui...). Autour du roi de Mari, nous avons à la fois des devins, et des prophètes, extatiques ou appelés.. Quand un grand malheur était vu, il fallait faire quelque chose, il fallait empêcher un malheur prévu, et alors, on pratique une procédure "d' exorcisme" ( prendre un objet, le façonner comme le malheur et le détruire; ou, dormir avec une chevrette, elle va prendre votre malheur, le matin vous l' habillez comme vous, vous la tuez, l' entérrés, et alorsd les Dieux sont dupés ). Un millénaire après, à l' époque des Assiriens, quand il y a une éclipse, on dguise le roi en paysan, on prend un trouffion qu' on fait passé pour le roi, puis on le tue avec les vétements du roi (même technique qu' avec la chevrette, mais là avec un être humain ). Pour dénouer le malhuer, la notion de substitut est très importante dans le Proche Orient Ancien. Autre personnes importantges autour du roi, les femmes. Il y en avaity plein, la reine mère, les soeurs, cousines, les épouses royales ( l' épouse royale, bien que servante de son roi, a un rôle fondamental dans le royuame), les concubines ( les "chanteuses" à l' époque, elles sont prise lors de victoires militaires, dans la récupération des haremsndes rois vaincus ). Ces jeunes filles, ces concubines, apprenaient à chanter, et apprenait la musique ( la lyre et la harpe ) et parcipaient au banquet en faisant la musique. Dans le palais de Mari, on ne nomme les enfants qu' au bout de certain temps, car la mortalité infantile est très importante, térrifiante. Qui dit enfant, dit nourrice, une des personne les plus respecté du palais.
Les malheurs possible dans les harems, espace très réduit, sont les épidémies ( seul moyen de contraint est la quarantaine ). Pour garder ces concubines, il y avait des eunuques, hommes castrés, qui ne vont pas toucher les femmes et ne pas avoir d' enfants, donc pas de problémes de succésion du trône. Les femmes ont un très grand rôle dans la religion, des pretresses, des devines...

La vie de cours :

Ce n' est pas extraordinairement riche, c' est un peuple bédouin d' origine. Même si pas treès riches, ils étaient très tape à l' oeil, notamment lors des banquets ou on sortait tout. C' était des banquets énormes, avec énormement de chose a base de farine ( galettes), d ela bire du vin, des oeufs d' Autruche, de la viande ( mouton très gras avec beaucoup d' ail ), du poisson ( carpes, anguilles ), des truffes du désert, les fruits, les gateaux...ces banquets étaient la marque du pouvoir du roi. Les vins étaient des vins très sucrés, sucrés au miel, afin de les conserver. Mais il y avait des années de dizette dans le royaume de Mari, soit par la guerre, soit par les invasions de criquets, que l' on mangait, soit a la broche ou en bouillit, afin de se venger. Les banquets étaient occasion de réjoissances, avec les concubines chanteuses, des montreurs d' animaux, des lutteurs.

Relation extérieures :

Elles prenaient deux formes, la diplomatie ou la guerre.
La diplomatie est codifiée par les lettres, ou les rois se parlent entre eux. C' est un système très codifié, de dons et de contre dons. Si cela se passe mal cela va jusqu' à la guerre. Si cela va bien, il y a une alliance entre les rois. Il y a deux façons de faire alliance : soit par rencontre des messagers des deux rois, ou ils se touchent la gorge ( si alliance rompue par un roi, sa gorge sera coupée ), puis on les re-renvoye avec les tablettes définitives de l' alliance; soit par une réunion, ou on parle, pendant plusieurs jours, et après on prend la décision de l' alliance, et a ce moment là, pour signifier l' alliance, on tue un petit animal. Si rien ne marche, c' est la guerre. Pour eux, la guerre est normale. Le roi est contamment en campagne militaire. La guerre et habituelle, et térrible, il n' y aucune règles, le droit du vainqueur est absolu C' était aussi une façon se s' approvisionner et d' enrichir son roayume.

Le roi de Mari dans son roayume était le centre d' un formidable réseau économique, avec de nombreux échanges, à la fois par caravanes d' anes, ou par caravanes sur l' Euphrate.
Le roi de Mari est un sédentaire, mais il a toujours envie de bouger, de voyager, ils adorent ça. Très souvent, le palais est vide ! Le roi de Mari est restait un roi bédouin qui adore voyager.
De plus, autour de Mari il y a des bédouins sédentariser, et des bédouins qui continuent de voyager, d' etre nomades. Soit le roi de Mari tente d' avoir de bonne relations avec eux en leur donnant des terres pret du fleuve, et parfois les intégre même à son armée, et si ça va mal, c' est la guerre, et ce sont les guerres les plus violentes, car il s' est énormement avec les fils de la droite, les Benjaminites. Le roi de Mari avait une police, qui circulait autour de Mari, autour de l' Euphrate, e qui avait pour mission de surveiller les mouvements de population, essentiellement les bédouins.

Les populations "bédouines" :

Ce sont des population nomades qui bougent. Parmis les opulations de Mari, il ya les population Amorrites, qui sont des sémites de l' ouest. Le roi de Mari Zimrî lîm était un Bensimalite ( peuples du Nord , les peuples du Sud étant les Benjaminites ). La population qui bouge sans cesse, on l' appel aujourd' hui "bédouins", mais ce groupe évolue. En effet, parfois des nomades deviennent sédentaires, et inversement, des sédentaires deviennent nomades. Etre "bédouin", c' est un mode de vie. Ce sont les populations qui inquiètent le roi de Mari.


Babylone
Le Code d' Hammu-rabi.

Nous allons voir les principes du droit et de la justice de l' époque, au 18ème siècle avant JC. A Babylone, c' est installé une dynastie Ammorite comme à Mari, avec des Sémites de l' ouest. Le mot "Babylon" est un mot Akkadien qui se décompose en deux : Bâb-ilî, c' est a dire la "porte des Dieux". Le site de Babylone a été fouillé par les allemands au début du 20 ème siècle. Le problème est que nous ne connaissons que la Babylone du premier millénaire, avec le roi Nabuchodonosor, en gros au VII ème siècle avant JC; C' est le roi qui a détruit Jérusalem. Parlons en revanche d' un roi qui est plus ancien, Hammu-rabi, du 18 ème siècle, mais on ne connait pas cette Babylone car a été emporté par l' Euphrate. Nous le connsaisson grâce aux autres villes de la région et surtout par son code, le Code d' Hammu-rabi. Hammu-rabi, "Grand Roi", est monté sur le trone en 1792 et est mort en 1750 avant JC. C' est lui qui est à l' origine de la grandeur de Babylone au 18ème siècle. C' est un roi conquéran,t qui a été à l' origine d' un véritable empire. IL a multiplié les victoires, qui a prit Mari en 1762. Il a été un roi organisateur, qui s' est soucié de la vuie de sa population, avec les routes par exemples, et également de la vie des temples, avec les "léttré", des personnes qui connaissaient l' Akkadiens et le Sumériens. Dans ces temples on a découvert des textes de médecine, d' astrologie, de mythologie... Le grand problème d' Hammu-rabi a été l' appauvrissement de la population, nottament à cause des dettes, et surtout de l' esclavage pour dettes. En 1750 Hammu-rabi meurt, et le pouvoir est à ses fils.

La Justice et le Droit.

Ce sont les fonctions essentielles d' un roi au Proche Orient, et c' ets paticulièrement vrai pour le roi Hammu-rabi. Dans le monde de l' utopie, le premier devoir du roi est d' assurer la justice a ses sujets, pour que ceux-ci soit heureux, "pour que le fort n' oprime pas le faible". C' est de l' idéal, et non de la réalité...
Est ce que ce fut le premier roi à s' occuper de la justice et du droit ? Non, car nous avons des codes de lois qui remontent aux rois sumériens et aux rois Amorrites du 20ème siècle. Lui en revanche, en a fait un monument remarquable qui a nété retrouvé en Iran, à Suse, mais a été fabriqué en Babylonie. Les françaois l' ont trouvé, et est aujourd' hui au muisée du Louvres. C' est une immense stèle, gravé dans la pierre noire de diorite, fait 2,5 mètres de haut, comporte une image en haut et des articles de lois en bas.
L' image :
Il y a un face à face entre le roi et son Dieu, car le roi agit pour le Dieu. Le Dieu de la Justice, le Dieu du Soleil, Samas, Dieu qui éclaire tout, donc aucun coupable ne peut lui échapper, est ici assis à droite sur un trone et à les pieds sur un mont d' écailles, qui représentent les montagnes. Il a une très grande barbe, et a dérrière ses épaules les rayons du Dieu Soleil. Face à lui, il y a le roi Hammu-rabi en pleine prière, vétu d' une robe de laine simple, mais qui découvre l' épaule droite, ce qui est le signe de la prière a main levée. Il met son code de loi en patronage du Dieu Soleil. Le Dieu donne au roi deux instruments du pouvoir, le bâton et l' anneau, au départ des outilsd n' architectes ( un roi doit fonder un royaume stable, comme un architecte un batiment équilibré ). Le droit et la justice se font donc sous le patronage du Dieu Soleil.
Les articles en bas :
Il y a 3 500 lignes de textes ! Et au total, 282 "articles" de loi. Ces articles sont précédents d' un prologue ou mle roi met en avant ses qualités de roi de Justice. Ert il y a u épilogue ou il répéte quy' il est là pour le bonheur de son peuple. On dit "code", mais ce n' est pas un "code", car un code en principe est un receuil complet de lois, c' est quelque chose qu' exhaustif. Ici, c' est 282 cas qui ont été prépsentés à des juges, et qui ont été réglés, c' est de la jurisprudence, donc c' est loin d' être exhaustif. C' est du cas par cas. Cela commence toujours par "si", c' est ce qu' on appel la "protase", suivit d' un "alors", ce qu' on appel "apodose". Ce cas par cas est gnéralisé dans cette culture dans les traités de médecine, d' astronomie, de prédication... En principe une loi est logique, maois ce n' est pas le cas chez eux, car il peut y avoir des contradictions dans le code. Ils ne fonctionnent pas avec notre logique actuelle. Une véritable loi est contraignate, ce qui n' ets pas le cas ici. En effet, s' il y a un problème qui se pose, on va remonter à Hammu-rabi, c' est lui qui prime. Donc ce n' est pas un vrai code de loi, c' est une receuil de jurisprudence, qui n' est pas forcement logique.
Le mot "droit" et "Justice" dans le code :
Le mot "Kittum", issu de "Kân" qui signifit "établir solidement", se traduit par "application stricte du droit" Le mot "Mîsarum", issu de "erêsum" qui signifit "aller dans la bonne direction" et qui implique la notion d' harmonie et d' être fidel à son destin, que l' on traduit comme "équité", mot préféré d' Hammu-rabi. Il y a une différence entre ces deux mots, "mîsarum" peut venir reprendre "Kittum".

I)Les Principes du Code d' Hammu-rabi.

Premier principe : ce n' est pas à l' accusateur de prouver son bon droit, mais à l' accusé de prouver son innoscence.
Deuxième principe : dans leur esprit, il y a toujours un coupable, il n' y a pas de notion de bénéfice du doute et de non-lieu. Ici, il faut trouver le coupable et le punir. Par exemple, une femme accusée d' adultère. Il faut le prouver. Soit elle est prit en flagrand délit, mais quelque fois ce sont des rumeurs. Dans ce cas là, on va faire appel aux Dieu. Soit on prend la femme, on la met devant une statue divine, et on lui demande de jurer qu' elle n' est pas coupable, soit on pratique l' ordalie par le fleuve (ordalie = jugement de Dieu ), c' est à dire qu' on pousse la femme dans l' Euphrate, et on regarde si elle en sort vivante. Si elle en sort vivante elle est innoscente, alors la justice va condamner à mort sur l' accusateur. En revanche si elle disparait, ils disent que "le fleuve l' a épousé", c' est qu' elle est coupable, et le fleuve l' a punit, et alors, la justice humaine va se retourner contre la famille Dans certain cas, surtout si c' est une reine, on applique la notion de substitue, c' est à dier qu' on envoit une serva,te dans le fleuve à la place de la maîtresse.
Troisième principe : la peine, par rapport à la faute, doit etre équivalnete, ce qu' on appel le "talion", c' est a dire que si vous faites subir une peine a quelqu' un on vous fait subir la même chose.
La pénalité :
peine de mort pour le crime, le rapte, certains vols, pour fausse accusation
mutilations au poignet, l' oeil, les dents, l' oreille, les mains...
peine non physiques : compensassions ( on rend ce qu' on perdut, si on peut pas on est mis à mort ), soit en rendant exactement ce qu' on a fait perdre, soit on donne un certain poids de métal ( 1 talents = 30kilos = 60mines ; 1mine = 500gr = 60 sicles, 1 sicle = 8gr ).
La pénalité dépend de plusieurs facteurs : la gravité de la faute, l' age ( jeune plus pénalisé que la personne agée ), le sexe ( femme plus pénalisée que l' homme ), le statut dans la société. La société Babylonienne est divisé en trois classes. Au sommet, il y a les "awîlum", l' élite de la société. Au milieu, les "mu-skenum", les simples particuliers. Et en bas, il y a les escalves, les serviteurs. A propos de la culpabiolité, on voit peu à peu voir apparaitre la notion de culpabilité individuelle, ainsi que la notion de circonstances aténuantes. Mais la personne c' est la famille. Si un maçon batit mal une masion et qu' en ns' écroulant elle tue le fils du propriétaire, on tue le fils du maçon.

Les codes ultérieurs, les descnedants du Code d' Hammu-rabi : la Bible de l' Ancien Testament, le Code de l' Alliance l' Exode ( "tu payeras vie pour vie, oeil pour oeil, dent pour dent, main pour main, pied pour pied, brulure pour brulure, blessure pour blessure, meurtissure pour meurtrissure" ).

On est punis par là ou on a commit une faute ( le sein coupé dans le cas de la nourrice, cf fascicule ).
Le code d' Hammu-rabi prévoit le salaire de certaines professions, comme l' exemple du médecin qui recçoit une certaine somme après telle où telle opération. Les vétérinaires ( "médecins du boeuf et de l' âne ) sont moins bien payés, mais subissent en cas d' échec une nettement moindre peine.



Le Mariage et la Femme

Nous sommes dans la Mésopotamie du second millénaire, et nous allons trravailler sur le mariage ,a la famille et la femme. Dans cette Mésopotamie amorrite du 18 ème siècle avant notre ère nous sommes dans une société patriarcale, c' est a dire un système juridique et social qui est fondé sur la filiation patrilinéaire, ou le père exerce une autorité exclusive. Pour ce type de société, le mariage est essentiel car il va permettrre de transmettre le nom et la fortune de la famille. Si on ne se marie pas on est hors norme et votre destin ne peut etre que malheureux. La jeune fille dans cette société reste a la maison avec sa mère avant d' être marié, bien que le mariage fut fixé en général avant ses 12-13ans. Le mariage est arrangé entre les familles, et le jeune homme doit donner de l' argent au père de sa future femme, et s' il le souhaite, il peut donner un cadeau à sa femme. De son coté, le père donnera une dotte à sa fille, et quand la jeune fille se marie, elle quitte la maison de son père pour entrer dans la maison de son époux, et sera à ce moment là, la servante de son époux. Sur le plan juridique c' est son épouse de son marie, mais sur le plan personnel elle est sa servente, et son mari est son seigneur. Elle feit partie de ses posséssions, et porte maintenant le voile de la femme mariée. Son destin est d' avoir des enfants, et surtout des fils, et surtout de s' occuper de sa maison. En règle générale, le mariage est monogamique mais le mari peut avoir le droit d' avoir des épouses secondaires, des concubines esclaves. Si la femme ne peut pas avoir d' enfants, le mari peut a tout moment la répudier, mais dans ce cas là la femme est défendue dans le code d' Hammu-rabi, car dans ce cas le mari lui doit une compensation matérielle. Dans ce type de société, il y a peu de femmes qui jouent un rôle public, mis à part les reines. Mais on arrive quand même des femmes qui ont des vrais métiers ( hormis les prostituées ), commes des femmes scribes, d' autres qui pratiquaient l' exorcisme et la divination, et beaucoup de pretresses. Sur le plan juridique, la femme d' après le code de Babylone a un vrai cadre juridique. Dans le code d' ammu-rabi elle peut avoir son propre sceau, elle a une vrai personnalité juridique. D' autre part, si sa dotte est un champ, elle peut le faire travailler, et, si elle souhaite aller en justice seule, elle le peut. Quand le mariage ne marche pas, on se rend compte dans le code d' Hammu-rabi qu' il devait y avoir des femmes qui prenaient de réelles libertés pour arriver à etre heureuses, et le mari a souvent le dessous. Si un mari s' est rendu compte que sa femme est sortie avec quelqu' un, le code lui donne le choix entre l' indulgence ou il laisse vivre se femme et son amant, ou alors c' est la peine de mort pour les deux. Dans ce cas là, il y a une atteinte à la propriété de quelqu' un d' autre !
Nous avons le cas au 19ème siècle avant JC, avant le code d' Hammu-rabi, le cas d' un homme qui s' est marié trois fois. Ces contrats de mariage montre qu' il a épousé une pretresse alors qu' elles n' ont pas le droit d' avoir d' enfants. (cf fascicule )Le premier contrat montre que le mari a pris en mariage une pretresse, et pour la répudier, il faut payer 1 livre. Les pretresses sont des filles de la très haute société, qu' on ne marié pas au début pour ne pas dilapider le patrimoine, et donc on les mettait pretresses. Il y avait les pretresses du Dieu Soleil, les Nadîtum de Samas, et se regroupaient dans un cloitre, le Gagûm, ont des activitées religieuses, et vivent grace à une dotte du père, n' ont pas le droit de se marier et d' avoir d' enfant, mais elles étaient lettrées et cultivées. Et il y avait les Nadîtum de Marduk, qui elles ont le droit de se marier (que notre bonhomme épouse ici), et étaient des femmes de très haut statut. Il y a onze témoins qui scèlent la tablette du contrat de mariage avec leur sceau pour ce premire mariage. Le second mariage ou il ré-épouse la première et en prenant une seconde en mariage en plus afin qu' elle lui donne des enfants. Cette nouvelle épouse est aussi une pretresse, mais qui peut avoir des enfants, car elle est d' un rang inférieur, c' est une épouse de sugetum. Les closes du contrat sont fantastiques. Si les deux épouses répudient leur mari elles sont condamnées à mort, et si c' est lui qui les répudie, il perdra la maison et le mobilier. Mais la seconde épouse doit rester seconde, elle doit laver les pieds de la première et amener la chaise de celle-ci à son temple, et enfin, elle doit aligner son comportement sur le comportement de l' épouse numéro un. Il y a 10 témoins de ce mariage. La seconde épouse à eut des enfants, mais va faire un troisième mariage. Afin de proteger la seconde et ses enfants, elle a été adoptée par le père de la première épouse, et maintenant comme elle était la soeur adoptive de la première épouse ses enfants étaient aussi ceux de la première épouse. L' Homme reprend en mariage les deux épouses précédentes. Si la seconde épouse dit a la première épouse "tu n'es pas pas ma soeur", alors elle sera tondue et on la vendra comme escalve. En fait ce troisième mariage n' est simplement qu' un rajout de closes de mariages. Selon le code d' Hammu-rabi le mari peut prendre en plus d' une épouse pretresse nadîtum soit une escalve concubine soit une autre pretresse, mais pas les deux !


La Religion.

Nous restons au 19ème 18ème siècle avant notre ère, et toujours dans le cadre des populations que nous avons étudiées auparavant.
A l' époque amorryte.

Les sources antiques :

Nous avons des textes. Ces textes ont été souvent retrouvés dans le Palais de Mari, et sont d' une part des rituels qui décrivent des cérémonies pour les divinités, ou des lettres ( genre épistolaire ) ou des tablettes administratives ou nous avons un récapitulatif des comptes. Nous avons aussi comme sources, les noms de personnes, car souvent ces noms comportent des noms de divinitées ( untel serviteur de telle divinité). Nous avons aussi et surtout l' archéologie, comme les temples, comme les temples de Mari et le site de Byblos, des images des divinités. L' historien dispose de beaucoup de sources, et la difficulté, est l 'interprétation de ces sources, et la compréhansion du lien entre les amorrytes et leurs divinitées.

I)Quelques divinités de l' époque amorryte.

A)Le Grand Dieu.

C' est le Dieu de l' orage, que l 'on appel en Mésopotamie Adad, et les amorrytes l' appellent Addu, parallele avec Yahvé de l' Ancien testament. C' est une figure majjeure de la vie religieuse, c' est celui qui marche dans les montagnes, qui tonne et lance les éclaires. C' est un Dieu combatif et violent, qui aide souvnet le roi. Mais c' est aussi un Dieu bénéfique, car quand la pluie tombe cela permet la fertilité. Le roi de Mari, avait cette divinité comme Dieu dynastique. Son culte était répandue des deux cotés de l' Euphrate.
Sa représentation ( page 1 du fascicule ): c' est ici un bvas relief du musée du Louvres. C' est une stèle, un bloc de pierre fin et sculpté sur un seul coté, de 142 cm. Le Dieu est représentait marchant, comme à l' Egyptienne, et il marche sur la montagne ou il réside ( première ondulation ), mais c' est en meme temps un dieu qui a développé une mythologie importante qui a vaincu la mer qu' il a tué à coup de masse d' armes. Le thème mythologique du combat contre la mer est typique des population du Levant, nottament des population sémitiques de l' Ouest. Dans l' Ancien Testament cela se retrouve avec Yhavé qui se bat contre Léviathan, et dans le nouveau testamament, le christ marche sur l' eau, signe de domination. On l' appel aussi Ba'al, qui désigne le maitre [bélum]. Il a une tenue composé d' une jupe serré avbec une grosse ceinture dans laquelle passe un poignard, il est torse nu, porte un casque qui le protége. Devant le casque il y a des cornes de taureaux, marque du divin. C' est un diue barbu avec une barbe lisse typique de cette région uest du proche orient. Il a deux armes : une lance qu' il fiche en terre et qui représente l' éclair, mais l' éclair bénéfique car au bout de cette lance il y a de la végétation, signe de la pluie qui arrivent après la foudre et permet la fertilité ; son autre arme et sa masse d' arme qu' il a utilisé pour tuer la mer. LA figure du dieu se distingue bien, donc nous avons une image bien précise dans cette société du divin, c' est une représentation anthropomorphique du divin ( divin représenté en etre humain ). Le petit bonhomme en miniature devant le dieu, est un etre humain en habit de cérémonie, qui est sur un pied d' estale et qui regardfe dans la meme direction du dieu, c' est le roi d' Ugarit, site de la localisation de la montagne du Dieu.

B)La Grande désse Estar.

Elle était très vénérée dans la zone ouest du proche orient, dans la zone amorrité, surtout a Mari ou elle avait un double aspect, a la fois déesse de l' amour et déesse de la guerre, du combat. C' est une personalityé divine redoutable, l' une des plus grande déesse du Proche Orient Ancien. Les fêtes en son honneur étaient des très grandes fêtes du royaume de Mari.. Les rituels étaient la prière, ou plutôt les prières ( de remerciement, d' adoration/louage, de pardon... ), et en règle générale, ce sont des prières qui se faisaient au temple. Tous les rituels du temples composaient des procéssions, des offrandes ( bourritures...). Lors des sacrifices, les animaux sont codifiés par importance, et la viande est repartie. Le fait de bruler un animal est rare dans le Proche Orient Ancien, c' est ce qu' on appel l' holocauste. Les temples étaient de grands espaces sacrés, avec parfois plusieurs batime,nts, des jardins, des statues des dieux, et ces temples étaient souvent très riches avec des terres et troupeaux. Il y avait beaucoup de pretres et des pretresses, et il y avait aussi des devins et prophètes. On consulte constamment les divinités par oracles, et ces divinités envoient des messages à travers les prophètes.
A l' époque des ammorrites il y a avait une autre façon de vénérer les dieux, que l' on pratique encore aujourd' hui dans l' Islam, ou on ne représente pas les Dieux mais ou on représente les divinités par des pierres, ce qu' on appel bétyle ( "maison du Dieu" ). A Mari, il y a des temples ou la place de la statue divine il y a une pierre dréssée, le bétyle. On sait que le roi commande à ses gouverneurs de Province des pierres taillées, certaines peuvent faire jusqu' a trois mètres de long. Les divinités pouvaient alors être vénérées soit sous leur forme représentée ou sous leur forme de bétyle, de pierre. Cela fait partit du culte des pierres, très répandue dans le monde amorrite. C' est ce qu' on appelle l' aniconisme ( la non-représentation du divin ). Quelles interprétations actuelles ?
On pense que cela pourrait être lié aux population ouest sémitiques et à leurs origines nomades. Pour beaucoup de nomades, les pierres sont très importantes ( points de repère, séparation de zones, un objet de culte ).








comme d' hab', ne pas prêter gaffe aux fautes d' orthographe