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Suite de l' UE3 -Systèmes Politiques Antiques.

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Message  Scalp Jeu 10 Mar - 19:27

III)Les Dèmes.

Chaque trittye comprend plusieurs dèmes, c'est-à-dire des villages avec un térritoire agricole tout autour ou des quartiers urbains.
Les démes sont fondés sur les liens de voisinages.
L' instaurationdes Dèmes comme cellules de base n' a pas totalement effacé le rôle des phrateries. Les citoyens se sentaient membres d' une phratrie et d' un Dème, les deux à la fois.
Les Dèmes sont les cellules de base. Elles tenaient des listes de membres.
La cité se présente comme une structure très complexe où parallèlement aux institutions fonctionnent des subdivisions du corps civique. La cité ne les combats pas mais les mets à profit pour la sociabilisation des citoyens. La réforme de Clisthène a aussi accordé un grand rôle aux Dèmes, les communautés rurales qui sont dés lors devenues une cellule de base du corps civique. Désormais, l'inscription sur une liste de citoyens se faisaient dans ces nouvelles subdivisions du corps civique: les Dèmes. L'avantage du Dème c'est qu'il n'était pas fondé sur un lien de parenté fictif mais plutôt sur le voisinage. Ce qui est intéressant c'est que l'instauration de ces nouvelles cellules de base n'a pas entièrement effacé le rôle des phratries. Les Athèniens vivaient donc dans un monde double. Il appartenaient à leur Dèmes et également à leur Phratrie. La cité ne voyait pas dans l'appartenance de citoyens aux phratries un danger.



Partie II
Diversité des régimes politiques dans le Monde Grec.

Il y a d 'autres démocraties que la démocratie grecque. Et il y avait aussi d' autres types de régimes.
Avant cela, il faut nous demander quels types de régime les grecs connaissaient, et comment ils les classés.

Classements des Constututions.

Pour dire "constitution, régime politique, citoyenneté, droits politiques, vie politique, vie communautaire", les grecs disaient politeia. Les grecs disaient "participer à la politeia". Pour les grecs, être citoyen, c' est particper à la communauté, au pouvoir ( Assemblée et pouvoir judicaire).
Pour présenter le différents régimes, il faut étudier le tableau de la Politique d' Aristote, où il y a trois possibilité de régimes: selon Aristote, il y a soit une seule personne qui a le pouvoir ( en régime correct c'est une monarchie, en régime corrompue c'est une tyrannie), soit une minorité qui a le pouvoir ( en régime corret c' est une aristocratie, en régime corrompue c' est une oligarchie), soit la majorité, la masse qui à le pouvoir ( en régime correct c' est la politeia, et c' est une démocratie quand le régime est corrompu). Notre but n 'est pas d' expliquer la pensée d' Aristote, mais de voir l' évolution sur la réflexion sur le classement de ces constitutions.

I)Les premiers débats au sujet des régimes politiques.

Les premiers classements apparaissent dans la premiers moitié du V ème siècle. Ces classements ne sont pas fait par réflexion des phylosophes, mais sont le résultat de débats politqies très vif, et liés à la pratique politique en Grèce. Il y a dès le début des arguements pour et contre pour chaque régime. Ces classements font échos des passions que les régimes engendraient.

A)Circonstances politiques.

Selon le model théorique de la cité, il y a une équation entre ceux qui gouvernent et ceux qui sont gouvernés. Théoriquement tous les citoyens ont le pouvoir, théoriquement. Mais les grecs ont vite remarqués que cela n' était pas réel, et que le pouvoir était tenu par un groupe et non pas le peuple. Les citoyens participent à la vie communautaire mais pas à la vie politique. Aisni, les grecs se sont concentrés sur les réalités du pouvoir ( =Archè ). Les débats ont été annimés par l' instauration de la démocrtie a Athènes depuis les réformes de Clisthènes en 508-507 avant JC. Ce n' est pas par hazard que les premiers classements apparaissent au début du Vème siècle avant JC, période où la démocratie fonctionne à Athènes. La démocratie fonctionne à Athènes, mais il y a tout de même des oppositions à celle-ci. La réflexion en est portée par elle, mais en règle générale, elle porte sur les différents régimes. Avant, les grecs ne connaissaient que deux types de régimes, un régime où un petit groupe disposait du pouvoir ( Oligarchie pour Aristote), et un régime où une seule personne était au pouvoir ( monarchie, tyrannie ).L' oppositoin se faisait entre ces deux types de régimes, avec notamment la critique des aristocrates vis-à-vis de la tyrannie, tout en voulant, pour certain, devenir en tyran ( dans leurs rêves profonds...). La situation a clairement changée avec l' apparition de la démocratie à Athènes. Il y a maintenant trois régimes ou lieu de deux. Il y a donc des critiques mutuelles entre ces régimes.

B)Le plus ancien classement des constitutions.

Le premier classement vient d' un poète, Pindare, vivant à la fin du VI ème début du V ème siècle, qui compose des ôdes aux vainqueurs des différents concours. Son seconde Ode Pythique, réalisé fin du VI ème siècle, ditingue trois formes de régime :
La tyrannie, le gouvernement de la foule impétueuse, et le gouvernement des sages.
L' idée de Pindare est de nature morale, et non pas politique. Mais il nous transmet une information intérressante sur les régimes politiques. Le critère de distinction est fondé sur le nombre de gens qui détiennent le pouvoir. Déjà Pindare utilise ces critères, tout comme Arsitote plus tard. Quand Pindare parle des "sages", opposés au pouvoir d' une seule personne ainsi qu' à celui de la masse, il parle des aristocrates. Dans ce premier classement, on a une division tripartite, et qui reflète aussi des débats moraux autour de ces régimes. Quel régime est bon, quel régime est mauvais ? Sa sympathie politique se tourne vers l' aristocratie ( = les sages ). Par ailleurs, nous savons que Pindare avait de bonnes relations avec des tyrans de son temps. Le terme "tyrannie" n' a pas pour lui de connotation morale, ce n 'est pas une insulte. Ce qui est intérressant, c 'est qu' il fomule une critique claire pour le régime de la masse au pouvoir (" impétueuse"), et nous sommes à une époque où la démocratie existe déjà à Athènes. On peut donc penser que Pindare critique celle-ci, révélation des critiques de l' époque sur la démocratie. Ces critiques ne portent pas sur son fonctionnement, mais sur le principe même, qui ont une valeurs morales aux yeux des critiques.

II)Les principes des Régimes.

A)Hérodote et le Débat sur les Constitutions.

Historien né en 490 et mort en 420, Hérodote a retracé les guerres médiques ( entre les grecs et les Perses). Il nous raconte une histoire qui selon lui même paraitra incroyable au lecteur, et pourtant cet événement avait vraiment eut lieu. En 522, le roi Perse Cambyze ( qui a conquis l' Egypte) est assassiné par un complot aristocratique de trois chefs, dont Darius qui deviendara roi ( Darius 1er). En racontant cet attentat, Hérodote nous explique qu' ils se réunissent après le meutre du roi et débatent pour savoir quel régime ils doivent mettre en place maintenant. Pour trancher cette question, ces trois aristocrates présentent les avantages et inconvénients des régimes existants, et au final, selon l' avis de Darius, la monarchie est gardée. Les savants modernes sont plus ou moins d' accord pour dire que ce chapitre d' Hérodote est réel en ce qui concerne les débats sur les constitutions. Ces mêmes savants sont également d' accord pour dire qu' Hérodote présente ce débat à la manière Grecque, avec un vocabulaire et des idées grecques. Ce passage nous informe des débats sur les régimes politiques au milieu du V ème siècle, époque d' écriture d' Hérodote. Herodote présente un traité théorique des régimes politiques de son temps. Il est interressant de savoir lesquels il connait. Il connait trois régimes en fonction du nombre de personnes qui sont au pouvoir, et il détaille ces régimes:
Tyrannie ou monarchie ( une seule personne) : les qualités ou défauts de ce régime dépendent de la personne qui a le pouvoir. Si elle a les vertues requises, elle sera apte au bonheur de tous et à garder les secrest d' Etat. Mais cette personne peut également tomber dans un "orgueuil sans mesure" ( =hybris). C' est assez naturel qu' un tyan qui exerce un pouvoir illimité tombe dans l' hybris, et tombe dans l' illégalisme, ne respecte pas les traditions, ne respecte pas les femmes, et fait mourir les gens sans jugement.
Régime du petit nombre
a)bonne version : régime où l' autorité ( kratos ) repose entre les mains des meilleurs ( aristoï ) = aristokratia ( aristocratie )
b)mauvaise version : oligarchie. Elle Caractérise la haine reciproque entre les gouvernants, les rivalités permanentes dans ce petit groupe d' aristocrates qui ne veulent satisfaire que leur propres ambitions plutôt qu' au bien commun.
Régime de la masse
a)bonne version = Isonomia, c' est-à-dire l' égalité des lois. Cela n 'insiste pas sur le pouvoir du peuple, mais sur les caractères légaux et égalitaires de ces régimes. Dans l' Isonomia, les magistrats sont tirés au sort et doivent rendre compte à la fin de leur mandat. Dans une isonomia, le débat est soumis au peuple. C' est le contrôl que le peuple exercie sur le pouvoir exécutif qui caractérise l' isonomia.
b)mauvaise version : gouvernement du peuple. Pour lui, la masse est souvent stupide et incapable de prendre des décisions, car elle n' a pas eu d' instruction.

B) Les lois, garantes du régime rémocratique.

Le débat constitutionnel transmis par Hérodote montre bien que la réfléxion sur la démocratie s'affine. Dans le cas de la démocratie, à la différence des autres régimes, l'analyse d'Hérodote est fondée sur les caractères institutionnel. La démocratie est fondée sur le principe de la rotation des pouvoirs. Il y a également la présence des lois qui garantissent une forme d'égalité.
Il y a désormais un classement en deux. Un régime ou les lois sont appliquées, dans la démocratie et un autre ou celles ci sont méprisées: tyrannie et Oligarchie.
Dans Les Suppliantes d'Euripide on essaie de montrer au citoyen les valeurs qui sont chères à la cité et qui assurent la supériorité du régime démocratique par rapport aux autres.
Euripide oppose la démocratie à la tyrannie mais aussi au régime des honnêtes gens, celui de l'Oligarchie.
Selon Euripide ce sont les lois qui garantissent l'égalité des citoyen. Cette égalité est judiciaire, elle s'exprime devant le tribunal du peuple. L'égalité est également politique, chacun a la droit de prendre la parole dans l'assemblée du peuple.
Il y a en définitive l'isonomia, l'égalité des lois et IIsègoria: égalité des voix.
Les lois sont remplacées par la volonté du tyran dans la tyrannie. Dans les Suppliantes, on prête de moins en moins d'attention aux régimes autres que la démocratie.

III)Succès de la démocratie et recherche d'autres critères de classement de constitutions
A)La banalisation des classements traditionnels.

Eschine, orateur Athénien né vers 390, mort vers 315. Il est l'opposant principal de Démosthène. Dans deux discours judiciaires prononcés en 345 et 330, il banalise la division tripartite des régimes politiques. Il abandonne aussi cette division tripartite et privilégie une division bipartite. Il insite sur le critère du respect des lois. Dans la démocratie on respecte les lois et dans les autres régimes on ne les respecte pas. Les différences entre l'oligarchie et la tyrannie sont négligeables pour Eschine. Il s'agit d'opinion banales. Cette division tripartite est ressentie comme inadéquate. On voit que les Grecs de l'époque d'Eschine sont convaincu que suel la démocratie est possible dans la cité car il s'agit d'une communauté de citoyens. Le modèle Athénien s'avère de plus en plus attrayant. Il n'est pas étonnant que l'on ai des immitation du modèle Athénien dans d'autres cités.
Alexandre le Grand , roi de Macédoine. Durant la période hellénistique il commence la conquête de l'empire Perse. Il mène une politique d'urbanisation. Toutes ces cités sont démocratiques on voit donc que le modèle Athénien se dévelloppe. Nous même sommes encore dans la lignée de cette pensée qui veut que la démocratie triomphe, qu'elle est le bon régime.

B) Aspects sociaux et institutionnels comme critères de classement des régimes.

Au fur et à mesure ou les pratiques constitutionelles se développent, cette division tripartite commence à être ressentie par les spécialistes comme inssufisante. Il faut donc trouver d'autres critères pour comprendre la démocratie, approfondir l'analyse.
Dans la République, Platon reprend la division tripartite. En réalité, il s'intéresse d'avantage au critère social de chaque régime. Il développe une idée intéressante, pour lui dans chaque régime la manière de vivre des citoyens est différente. Platon est donc convaincu que les citoyens ne vivent pas de la même façon dans les cités démocratique que dans les cités oligarchiques.
Aristote, dans la Politique analyse des régimes en fonction de leurs institutions. Il prend une division tripartite en appronfondissant le classement. Il analyse les institutions de chaque régime, pose d'autres questions comme le respect des lois, la classe sociale qui domine, l'accès à la magistrature... Il présente tout un spectre de différentes démocraties.

Conclusion,
la division tripartite reste au cours de toute l'époque classique un classement de base. Tout le monde s'en sert, même ceux qui considèrent que cette division ne correspond plus à un classement d'actualité. A côté de ce critère du nombre de personnes au pouvoir on n'a pas réfléchis à d'autres critères en Grèce. Puisque ces classements sont nés dans une ambiance de lutte politique, la description n'est pas tellement théorique que moral. On essaie de dire que notre régime est meilleur que le votre.
Les trois régimes ne sont pas traités sur un pied d'égalité


La Monarchie : la tyrannie.

La monarchie est un terme génaral qui désigne une forme de pouvoir ou le pouvoir est détenu par une personne. Il y a une monarchie positive, la royauté et une monarchie négative la tyrannie selon Aristote.
En principe, un tel pouvoir individuel représente toujours une menace pour la cité. En réalité, plusieurs régimes monarchiques ont existés dans le monde Grec. On se limite aux époques Classique et Archaïque. Même si l'on se limite à ces deux périodes, l'expérience monarchique fait partie de la tradition Grecque. De plus, en dépit du caractère suspect de la monarchie. De nombreux Grecs vivaient trés bien sous un régime monarchique. Il y a une certaine ambiguité des Grecs envers ce régime. Ils le critiquent vivement tout en vivant convenablement avec celui ci.

I)Terminologie.

D'après Aristote, la tyrannie est un régime politique ou le pouvoir est détenu par une personne dans son propre intérêt.
Dans les faits, la tyrannie a existé dans toute l'époque étudiée (classique + archaïque). Au VIIè siècle et au IVè siècle, les tyrannies apparaissent avec une certaine intensité.
Il y a deux mots, Tyrannis = tyannie et Tyrannos = tyran. C'est le pouvoir illimité, injuste aux mains d'une seule personne. La tyrannie est d'emblée une chose péjorative. Cette acception du mot apparait déjà dans la littérature Grecque. La tyrannie dans ses images polémique constitue une menace à la nature même de la cité.
Cette image péjorative remonte-elle jusqu'au début de l'apparition de ce régime ? Oui et non !
Chez les Grecs, le terme tyrannos n'a jamais été employé comme terme pour désigner un tyran. C'est plutôt un terme descriptif pour désigner un grand pouvoir individuel. Il est employé pour la première fois dans un poème d'Archiloque (VIIè siècle). Dans ce poème ce réfère au roi de Lydie, un royaule d'Asie mineure conquis au milieu du VIè siècle par les Perses. Le premier roi connu était Gygès. Le dernier était Crésus. Il se peut que le terme tyrranos soit un terme Lydien pour désigner le roi de ce pays.
Sémonidès d'Amorgos a écrit des poèmes, il a fait des Satires sur les femmes. Il est le premier à émettre l'hypothèse selon laquelle la femme serait "autorisée" à aimer son mari. Es femmes ont été divisées en divers catégories, selon les animaux auxquelles elles ressemblent. Elles sont toutes mauvaises, sauf celles qui ressemblent à des juments, celles qui sont avec un tyran ou un roi. On peut être riche et puissant quand on est tyran soit basileus. A cette façon neutre de parler de la tyrannie s' ajoute la tradition antique qui inclut sept sages, connus pour leurs propos pleins de bons sens, et parmis ces septs sages sont inclus deux tyrans. Il était possible dans la tradition grecque d' inclure un tyran dans les penseurs moralisateurs d' autrefois. Toutefois, à coté de cette acception du terme moralement neutre, nous avons au début de la période archaïque une conception négative. Les poètes condamnent moralement la tyrannie, comme Solon et Alcée. Il y a un texte d' Alcée qui invite ses compagnons à fêter la mort d' un tyran et de se méfier d' un autre aristocrate qui veut remettre un régime tyrannique en place dans sa cité. Le tyran est celui qui brise l' ordre d' égalité entre les aristocrates, et qui s' assure une position suppérieure à tous les autres. La tyrannie est donc présenté de deux façons : soit comme un type de pouvoir, donc moralement neutre, soit comme un régime dangereux. Cette image négative va peu à peu eclipser la conception neutre. Dès ses origines, le tyran est traité de façon ambigüe dans la tradition grecque. La tyrannie comme type de pouvoir suscite dès le début des inquiétudes, notamment de la part des aristocrates.

II)Le tyran et les aristocrates : l' ambiguïté des relations.

Dans la période archaïque, l' aristocratie a une forte influence dans la scène politique. L' entrée en scène en politique de gens ne faisant pas partit de l' aristocratie ne se fera qu' à la fin de la période archaïque. Il est difficile de trouver un parti populaire qui n' est pas aristocrate qui vise un régime politique pour le bien commun. Ce qui veut dire qu' avant la tyrannie, il y a une oligarchie, et après la tyrannie on a soit une oligarchie ou parfois une démocratie comme à Athènes. Il faut nous interroger sur les rapports entre les aristocrates et le tyran.
Tous les tyrans de la période archaique sont d' origine aristocrate. Cependant ce monde aristocratique leur réserve une certaine crainte. La mentalité des aristocrate etait dominée par deux tendances contradictoires. D' une part leur idéal politique et social était représenté par un ordre égalitaire entre tous les aristocrates, et d' autre part d' une manière de vivre qui les distingue du reste de la société, notamment par leur gout du luxe, et de la célébrité. Dans ces circonstences, le monde aristocratique est tiraillé par une rivalité entre ses membres, et tous empêchent que l' un d' eux prennent un rôle trop important. Cette rivalité a comme aboutissement l' accéssion au pouvoir d' un tyran. Bien que l' on connaisse des cas de collaboration entre tyran et aristocrates, en règle générale, les aristocrates étaient toujours opposés aux tyrans. Les tyrans, une fois au pouvoir, menaient des purges dans le monde aristocratique. Cependant, les tensions voir les hostilités, ne doivent pas dissimuler le fait que du points de vue culturel, le tyran est l' un des leur. Hérodote nous raconte comment le tyan Clisthène marie sa fille Agaristé, et pour choisir le meilleur mari, il invite des aristocrates à sa cours, et ils sont tous venus, donc personnes ne pensaient qu' il était mal venu de fréquenter un tyran. Il les convia à sa cour en organisant des concours pour savoir qui aurait sa fille, et chacun devait se distingier par ses qualitées pesonnelles ( sport, chant...). Au bout du compte, c' est Mégakles, un Athènien, qui est choisit, il a épousé la fille du tyran, ont eu un fils, qui s' appelait comme son grand père, Clythène, et qui sera à l' origine des réformes à Athènes en 508-507. On voit donc bien , que tant au niverau politique, les aristocrates combattaient la tyrannie, et autant qu' au niveau social et culturel ils considéraient les tyrans comme étant un des leurs.

III)Le tyran au pouvoir.

Nous connaissons environ deux cent tyrans dans l' Histoire grecque. Les plus célébres sont les tyrans de la période archaïque, comme Cypsélos et Périandre à Corintyhe, Clisthène à Sicyone, Policratès à Samos, Pisistrate et Hipparque et son frère Hippias à Athènes..
Au V ème siècle, il ya moins de tyrans, avant un renouveau au IV ème siècle, "nouvelles tyannies"..

A)L' instauration d' une tyrannie.

En ce qui concerne la période archaïque, l' instauration d' une tyannie résulte de la rivalité permanente entre les aristocrates. Une crise intérieure et extérieur pouvait amener à un déséquilibre, et alors un se plaçait au dessus des autres. Une cause est lié au couches non aristocratiques, le peuple, le démos. En effet, quand Aristote nous présente les mécanismes par lesquel une tyannie pouvait âtre instaurée, il appuit le rôle du peuple, qui, exploité par les plus riches, va pousser au pouvoir un "démagogu", c' et à dire un homme qui veut exercer une autorité politique pour défendre le démos. Pour lui, la tyannie est souvent là quand la tyrannie soutient les chefs populaires, mais une fois les aristocrates écartés, les " démagogues" profitent de leur place pour instaurer une tyrannie. Ce shéma correspond aux tyannies du IV ème siècle. Les tyrans sont donc des hommes populaires qui, une fois au pouvoir, instaure un pouvoir tyrannique. Aristote fait ici un anachronisme, c' est à dire que pour expliquer un phénomène d' autre fois, on le compare à un phénomène de notre époque sans s' appercevoir qu' il s' agit de phénomènes différents. Aristote explique la tyrannie archaique ( Quatre sicècles avant lui) selon le shéma présent au IV ème siècle. Alors que les tyrans de la période archaïque arrivent au pouvoir par des luttes entre aristocratiques.
En revanche, on peut trouver, pour toutes périodes confondues, une même cause extérieure cette fois ci, à savoir l' intervention d' une puissance extérieure au monde grecque et qui soutient une tyrannie. Par exemple, une fois que les Perse ont conquis des térritoires grecs, ils instaurent des tyrannies. En effet, un tyran qui devait son pouvoir à un roi, serait plus docile.

B)L' exercice du pouvoir par le tyran.

Le mot "tyran" n' est pas un titre constitutionnel, mais un titre descriptif. On ne peut pas demander " Qui est le tyran ici ?" . Il n' y a pas de fonction officile de tyran. Les tyrans exercent leur pouvoir de manière informelle, dérrière une façade institutionnelle. Les tyrans gardaient les institutions politiques, mais sans avoir une influence réelle sur la vie politique. Malgrès la sauvegarde de la structure administratibe, les tyrans se méfiaient car savaient que les gens voyaient cette façade, et alors ils s' entouraient de gardes personels composés de mercenaires, et interdisaient souvent le port d' armes par les citoyens. A juste titre, car en 514, le tyran Hipparque a été assassiné par un complot aristocratique à Athènes.
Pisistratre, à Athènes, n' a rien changé dans les institution, gardée la façade, s' entourait de mercenaires, et on sait qu' il s' était fait construire un palais, mais n' a pas été découvert par les archéologues. Nous savons aussi qu' il percevait une taxe de 5% au profil de son trésor. Il a essayé de batir une propagande, qui se manifeste surtout dans le domaine de la religion et de la culture. En effet, il réorganise des cultes traditionnels, comme le culte de Dionysos, d' Athéna, et donne un caractére officiel à ces fêtes. Les repésentation des tragédies a commencé pendant cette période de tyrannie. Le tyran se méfiait de la communauté civique, mais tenté aussi de la souder. Les tyrans ont également construits un certain nombre de sanctuaires, et le plus grand est le sanctuaire d' Héra par Polycrate de Samos. Ce dernier a tenté d' un faire un plus grand, mais n' a pas eut le temps de le finir, et c' est l' Empereur Hadrien, empereur romain au II ème siècle, qui va le finir.

C)La "nouvelle tyannie".

C' est la tyannie du IV ème siècle, qui se distingue de la tyannie de la période archaique. Au VI ème siècle, les tyrannie commencent à disparaitrent peu à peu au profil d' oligarchies et parfois de démocraties. Mais elles reviennent en force au IV ème siècle.
Par rapport à la tyrannie archaïque, la " nouvelle tyrannie" se distingue par deux phénomènes. D' abord, le tyran devient tyran souvent au bout d' une crise politique, en soutenant les interêts du peuple il obtient le soutien général, parfois même se fait élir, et ensuite s' empare du pouvoir personnel. Ils sont le plus souvent des chefs de guerre professionnels et batissent leur influence dessus. Une fois au pouvoir, ils forment des armées privées à leurs disposition ( des mercenaires ) qui dépassent le cadre de l' armée civique. On voit parfois qu' ils leur arrivent de gratifier les mercenaires en leur offrant des terres, ce qui est nouverau, et rompt avec la tradition de la cité qui veut que seuls les citoyens peuvent disposer de la cité. Apppuyant leur pouvoir sur l' armée, les tyrans font des conquêtes, qui dépassent le cadre de leur cité.

Conclusion:
Du point de vue historique, la tyranie constitue une étape importante dans l' histoire des systèmes politiques. Très tôt, les grecs voeint en ce régime quelque chose de mauvais pour la cité. En ce qui concerne la pratique politique, de nombreuses cités acceptaient la tyrannie



La Monarchie : la royauté ( BASILEIA ).


L' expérience politique des grecs a donné lieu a une reflexion politique sur les systemes constitutionels. Cette reflexion des grecs fait partit de notre culture, nous continuons la pensée des grecs.
La royauté parait étranghe dans le mnde grec, car on associe souvent le monde grec à la démocratie atrhénienne. L' étude de la tyrannie a montré la méfiance des grecs vis-à-vis de la monarchie. Selon Aristote, la monarchie peut apparaitre sous deux formes, une bonne, la roayauté, et la mauvaise, la tyrannie. Mais les grecs étaient en règle générale méfiant envers le pouvoir individuel. De nombreux grecs savaoient tres bien vivre sous la tyrannie, et de nombreuses cités non tytrannique avaient de bons contacts avec des tyrans, bien que considérait comme moralement douteuse.
Les grecs sont-ils aussi méfiant avec la royauté, ce que Aristote considere comme bonne forme de monarchie ?
A quel moment et dans quel contexte les grecs sont entrés en contatc avec des royautés, des royaumes ? Quel at était l' atytitude des grecs envers celle-ci ? Cette attitude a l' égard des royauté concrète a eut quelle conséquence sur la vision politique grecque ?
Quelles royautés connaissaient les grecs ? Les deux royautés qui viennent à l' esprit d' un athénien statistique de l' époque auraient été la royauté perse et spartiate.

I)Les royautés dans Monde Grec.

A)La royuauté des temps héroïques.

Un grec éduqué connaissait Homère, et le monde qu' Homère décrit est un monde organisé en royaumes et organisé par des rois. Aristote, qujand il veut parlé de celle-ci, parle de "royautés des temps héroïques". Il est impossible de définir la date de celle-ci, car pour nous Homère est une conception littéraire, tandis que pour les grecs de l' Antiquité c' était une réalité Historique. Pour Aristote, cela est un type de royauté bien particulier.
Ses traits distinctifs selon Aristote : elle est établie sous le contrôle de la loi, le roi exerce son pouvoir avec le consentement du peuple, et les prérogatives du roi sont limitées aux affaires de la guerre et aux rityes religieux. Cette analyse d' Aristopte permet de distinguer deux choses : selon les critères ed' Aroistote ce type de royauté est bon, elle est au service des citoyens et non au service d' un seul. De plus, on voit comment Aristote s' imaginait une bonne royauté où les prérogatives du roi sont très limitées. Ce type de royauté ressemble beaucoup à un autre type de royauté, à la royauté spartiate, notamment en ce qui concerne le caractère limitré des préroghatives du roi.

B)La royauté spartiate.

Dans l' histoire des système politique grec, Sparte est à part. Les penseurs grecs avaient du mal à classer le régime politique spartiate, car il y voyait un mélange de tout les systèmes politique, Aristote parle de "régime mixte" (éléments de monarchie, Oligarchie, démocratie ). Mais comme c' est un groupe restreint qui gouverne, Sparte est bel et bien une Oligarchie. Néanmoins la présence des rois est indéniable, et ùalgré le coté oligarchique, Sparte est aussi une royauté. Quelle est la spécificité de cette royauté spartiate ?
C' est une double royauté, une royauté à deux rois, donc on ne parle pas de monarchie mais de duarchie. Deux rois qui proviennent de deux dynasties, deux familles royales, les Agiades et les Eurypontides. A l' intérieur de chauq efamille royale, pa succéssion est héréditaire, le fils sucdéde au père, mais la succéssion n' est pas automatique s' il y a des doutes par exemple concernant la légitimité d' un fils. L' héritié devait être validé par la Gérousie et l' Assemblée spartiate. L' existence de deux rois suggére une rivalité permanente entre les deux ( les Hommes aiment le pouvoir ). Selon Aristote, cette rivalité était considérée par les spartiates comme un moyen d' atténir , de stabiliser le système, avec un controle mutuel, où aucun ne peut prendre de pouvoir tyrannique. Au vue de l' Histoire de Sparte, on peut dire que ce système a plutôt bien fonctionné, et ce n' est qu' au IIIème siècle qu' un roi va tenter de monter au niveau du pouvoir. Les prérogatives politiques des rois sont limitées. Pour Aristotes, les prérogatives sont télemment réduoites qu' il considére les rois commes des "magistrats à vie", un che de guerre permanent, et que le titre de roi n' est qu' un simple symbôle. Est ce vrai ?
Les rois sont d' office membres de la Gérousie, mais avec une seule voix comme chacun des gérontes. Le roi a le droit à la parole dans l' Assemblée, mais ce sont les éphores qui président l' Assemblée. C 'est surtout avec les éphores que les rois doivent partager leur pouvoir politique. Les éphores surveillent les lois. IL y a une rivalité permanente pour le pouvoir entre les rois et les éphores. Le résultat de cette rivalité dependait des caractéres des personnes.
En ce qui concerne les prérogatives militaires, au début les rois gouvernaient l' armée à deux, mais depuis la divergence d' opinion entre les rois Cléomène et Démarate lors de l' invasion de l' Attique par Sparte en 506 après les réformes de Clisthène, le pouvoir militaire sera dorénavant dans les mains d' un seul des deux rois. Les sources nous dise que le roi pouvait choisir le terrain d' opération militaire, mais nous savons par ailleurs que le roi n' avait pas le droit de déclarer la guerre, cela revenait à l' Assemblée. Au cour de la période Classique, il y a tendance d' envoyer deux éphores avec l' armée et le roi afin que ceux-ci surveillent le roi, ce qui limite le champ de compétence de ce dernier. Comme Sparte combat beaucoup, et surtout depuis la création de leur flotte au cour du IVème siècle, voir vers la fin de la guerre du Péloponnèse, essentiellement, il faut des chefs militaires en plus des rois, et leur nombre sera de plus en plus important.

Agésilas, un roi puissant de la première moitié du Ivème siècle, qui a réussit à se batir une situation politique plutôt important. Agésilas devient roi en 397, et noius savons que il a été désigné face à un litige d' hérédité réelle, il a été soutenu par Lysandre. Agésilas était petit et boituex, ce qui est execptionnel dans cette société spartiate très attachée à la condition physique. Et pourtant ce roi là et beaucoup fait évoluer la politique spartiate. Il était un chef de guerre exeptionnel.. Aristote dit qu' il était démagogue, c' est à dire celui qui essaye de plaire et d' influencer le peuple. En effet, au lieu d' entrer en conflit avec les éphores, Agésilas essayait d' entretenir de bons contacts avec les phors et les memebres de l' assemblée, et parfois même via le recours à la corruption. Grace à cela, il avait le double controle de l' armée de terre et de la flotte. Il était donc un très puissant. Les rois spartiates avaient donc des prérogatives limitées, mais pour peu qu' ils étaitent ambicieux, tel Agésilas, ils pouvaient augmenter leur pouvoir.
Face au déchirement de la Grèce au cour du IVème siècle, une idée appariat selon laquelle il faudrait un pouvoir individuel d' un seul sur tous les grecs, une idée de dépasser les divisions entre les grecs et de se fédérer dans une confédération d' un programme commun avec à sa tête un homme puissant. Cette idée est accompagnée donc d' une idée monarchique, d' un homme au pouvoir illimityé. Des penseurs comme Platon, cherchent alors une personnalité de leur époque pour trouver un Homme qui pourrait jouer ce rôle.Xénophon, quand il cheche un exemple de tel pouvoir, il s' attache à Agésilas, qu' il considére comme l' Homme qu' il aurait fallu à se projet, preuve qu' Agésilas, pourtant roi étant censé avoir peu de prérohgatives da,ns la société spartiate, était suffisamment puissant pour inspierr en lui cette idée.

C)La royauté de Cyrène.

Cyrène est une cité grecque fondée vers 630 par des colons venus de l' île de Théra ( île des cyclades ), dans l' endroit appelé aujourd' hui Sarhat, en Lybie. Cette cité a été fondé par un chef, qu' on appel Oikistès, qui s' a^pellaitr Battos. Il est le premier roi de Cyrène, fondateur de la dynastie des Battiades. Dans ce contexte de guerre contre les populations locales, il faut un chef avec des prérogatives importantes. Ces prérogatives sont devenues institutionelles, et alors Battos est devenu roi, dans une monarchie héréditaire. De plus, a proximité il y a la menace égyptienne. Ce type de régime n' était pas fondamentalement opposé aux notions grecques. Cyrène, quand nous aprlons de l' institution du roi, est connue par un commerce particulier d' une plante, la Silphion, utilisée comme médicament, et Cyrène était le seul endroit ou on la trouvbait, donc monopole de Cyrène, et on devine souvent que les rois de Cyrène jouissaient de droits concernant ce commerce. En effet, sur la coupe d' Arkésilas ( roi de Cyrène de la moitié du 6 ème siècle), ou il s' agit, on pense, du versemnt en nature du tribu des indigènes au roi, ou alors autre interprétation, scène de commerce ou le roi perçoit sa part. La royauté s' est maintenue à Cyrène jusque la conqu^te de la région par les Perses dans la deuxième moitié du 6 ème siècle. Mais même au delà de cette conquête, Cyrène continue a avoir un roi, et ce, jusqu' au milieu du Vème siècle. Vers 550, des conflits intérieurs ont pobligé le roi Battos III a chercehr une aide éxtérieure, et suivant les conseils de l' Oracle de Delphe, il a solicité l' intevrnetion d' un arbitre extérieur, Démonax de Mantinée, afin de résoudre le problème. Celui-ci a fait une nouvelle répartition du corps civisque, en trois tribus, en sorte que les inégalités de statuts entre les descendants des premiers colons et ceux qui sont arrivés après disparaissent. Ensuite, il a privé le roi d' une bonne partie de ses prérogatives politiques, qui ont ét transmises à l' Assemblée des citoyens. Le roi a gardé après ces réformes le controle des terres sacrées, et le contrôle des prétrises. D' une part, l' instauration d' une royauté à Cyrène montre que les grecs ne trouvaient pas que ce régime n' était pas incompatible avec les valeurs grecques, et il y a dès le début des tensions entre le roi et les aristocrates, et ceux-ci essayent de limiter les prérogatrives du roi, ce qui arrivera lors des réformes de Démonax. Dans une cité grecque, l' aristocratie ne pouvit consevoir la roayuté a condition qu' elle soit limitée dans se sprérohgtatives politiques.

II)Les royautés hors du monde grec et en marge du monde grec.

A)La Perse.

C' est sans douite à ce roi qu' un grec pensait quand on parlait de royauté. Depusi le milieu du 6ème siècle jusqu' a la conquête de l' Empire Perse par Alexandre le Grand en 334-323, les grecs entretenaient des contacts avec l' Empire Perse, aussi bien des guerres que des négociations diplomatiques. Les périodes de paix ont intensifié les contacts commerciaux et culturels.
Parmis différents type de royauté, Aristote distingue la roayutré de certains peuples barbares, qui est une théorisation de la royauté Perse. Pour Aristote, ces royautédes peuples barbares seraient à peu pret semblables à des tyrannies et soumises à la loi héréditaires, et il assimile cela aux fait que pour lui les Barbares ont un caractère plus servile que les grecs, et qu' ils supportent le pouvoir tyrannique sans s' en plaindre. Pour aristote, cette forme de régime est propre aux peuples barbares, et n' est pas possible chez les grecs. Il compare cette roayuté à la tyrannie car le pouvoir du roi est illimité. Cette roayuté perse est fondée sur une loi qui assure son caractère héréditaire, et de plus à cause de cette lois, les sujets acceptent cette royauté et la soutienne, la preuve en est que les tyrans perses n' utilises pas de mercenaires par peur du peuple, et que les rois perses non. Voilà l' attitude générale d' un penseur grec a l' égard de la Perse. Au niverau de la pratique politique, il y a de chopses intéressantes. Tout d' abord, en 411, lorsqu' éclate à Athènes une révolution oligarchique, les partisans de l' oligarchie utilisent comme argument que comme ils sont en pleine guerre du Peloponnèse et qu' il faut de l' argent, il faut demander l' aide des Perses, et pour cela il ne faut plus être une démocratie mais une oligarchie. Cette opposition fondamentale entre la démocratie et la royauét perse n' a pas empêché des athéniens de se réfugier en Perse, et parfois même à la cour du roi même. Ces relations étroites entyre un grec ert les autorités perses étaient toujours considérées comme suspectes. Et cela pouvait devenir une cause de mépris, de médisme, c' est à dire de sympathie voire de coillaboration avec les Mèdes ( les Perses ). IL ya donc des pratiques politiques entre les grecs et perses, mais au niveau de l' idéologie les grecs sont méfiant à l' égard de la royauté perse.



B)La royauté macédonienne.
a)Une région en marge du Monde Grec.

La Mé&cédoine a une fontière naturelle avec le monde grec, les montagnes d' Olympie, mes montagnes du nord de la Grèce. Ce sont des régions qui sont très proche du monde grec, mais pour le grecs, la macédopine a toujours était en marge du monde grec. Nous savons que des hommes de culture ont cotoyé la cour macédoniuenne, tel Euripide et Aristote, il ya donc des contacts culturels.
Les Macédoniens ne vivaient pas tous en cité, et beacoup pratiquaient le pastoralisme trashumance, qui veut se déplacer tout le temps. Ceci est utilisé par les grecs pour les voir comme des êtres moins développés qu' eux.

b)Les prérogatives du roi de Macédoine.

Les prérogtraives du roi étaient très étendues : controle de l' armée, chef religieux, chef politqieu. Cependant le roi macédonien n' est pas libre de ses actions, car elle est limité par l' obligation de gouverner par la loi coutumière. La nomos ( loi ) macédonienne n' était pas écrite, et qui régissait les rapports entre le roi et son peuple. Nus avons un roi, mais aussi une assemblée de tous les citoyens soldats du royaume.

c)L' Assemblée macédonienne.

Ce n' est pas une Assemblée démocratique comme Athènes, car déjà elle ne se réunie que deux fois par an, et elle vote par cri ( comme a Sparte ), et politiquement a des prérogatives très limitées.
L' assemblée intervient avec des prérogatives judicaires, notamment dans un cas de trahison capital. Le roi était obligé de convoquer l' assemblée, et aprsè avoir entendu accusation et défense, l' Assemblée votée pour sa condamnation ou non..
dans le domaine électorale, l' Assemblée confirme le nouveau roi dans ses fonctions. Le roi ne devient le roi qu' au mêment ou les citoyens solats le confirment dans cette fonction.
On présupose que l' Assemblée avait quelques prérogatoves éxécutives, mais c' est assez douteux, notamment car elle ne se réunissait que deux fois par an, mais cette prérogative pouvait être en cas de guerre ( en cas de déclaration ou de traité de paix ).

C)Conclusion : le caractère de la royauté macédonienne.

Au vu des institution la monarchie macédonienne n'est pâs absolue, et selon le classemùnt d' Aristote elle ressemble a beaucouip de monarchie barbares, car fondée sur une loi coutumière et à transmission héréditaire. Mais Aristote ne qualifie pas la monarchie macédonienne comme barbare, car il ne considère pas les macédoniens comme des barbares, et comme cette royauté n' était pas toptale comme en Perse. Pour les grecs, cette royauté peut être comparée aux royauté héroiques. LA Macédoine est en marge de la Grèce au vue de la géographie et au vue de ses institutions.

III)Débats politiques au sujet de la royauté au IV ème siècle.

Notre analyse des différentes formes de royautés nous amène à ces conclusions : d' une part la royauté est présenté par les grecs comme un régime qui n' est pas du tout étranger au monde grec. En effet, les grecs connaissent bien le fait monarchique. Mais ce sont des cas exceptionnel que les cités grecquies ou il y a des rois, et de plus ce sont des rois avec un pouvoir assez limité ( Sparte ). Il n' est donc pas faux de conclure qu' un pouvoir monarchiquye illimité ( tyrannie ) était pour les grecs inconsevable pour les cités grecs. Toutefois, au cour du IV ème siècle nous observons une évolution dans ce domaine.
Au niveau de la pratique polituique, au IV ème siècle apparait la "nouvelle tyrannie", pouvoir personnel très fort fondée sur une puissance militaire, et ces nouveaux tyrans cherchent à batir des Etats qui dépassent le cadre de leur cité. Il s' agit non plus d' une tyrannie à l' intérieur d' une cité, mais d' une tyrannie qui cherche à se développer. Le déchirement politique du monde grec amène des penseurs a dire qu' il faut une unité politique des grecs autour d' un programme politique commun. Pour Isocrate, ce programme doit être la conquête de l' Empire Perse grâce à une unité grecque. Ce programme est fondée sur le panhellénisme. Mais cette union aurait besoin d' un chef de guerre, donc d' un roi. Dans ces circonstances, il n' est pas étonnant que des penseurs s' intéressent à la monarchie, d' une certaine sympathie pour celle-ci. Certains penseurs manifestent une admiration à des régimes individuels et militaires. Mais nous aovns un vrai débat à cette période sur cela.
Platon, dans le dialogue Le Politique ( ne pas confondre avec la Politique d' aristote ), il montre que l' individu exceptionnel devrait être placé au dessus de toute loi, car il connaisserait toute la justice, celle qui est bonne, et serait alors le seul a pouvoir savoir ce qui et bon pour le peuple. La reflexion de Platon sur le meilleur régimpe, le régime le plus juste, l' amène a remettre en cause le fondement même de la cité. Il propose même l' utilisation de la force pour instaurer la bonne institution, ce pouvoir monarchique absolu.
Aristote, dans La Politique, consacre un passage sur la pambasileia, c' ets a dire la roayuté absolue. Apres l' étude des royauté éxistentes, il s s' attaquent à la théorisation d' une autres royauté, où " un seul homme est maitre de tout de la meme manière que chaque peuple et chaque cité sont maitres de leurs affaires communes".



LA suite à venir =)
et surtout, bon app' geek study
Et surtout, comme d' habitude, ne faite pas gaffe à l' orthographe j' ai eu la flemme de corriger. Stéphane je te confis la tâche de tout corriger Cool

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Message  stéphane Ven 11 Mar - 13:30

tu est un malade mentale, tu écrit tout se que le prof dit et moi corriger autan dire a ophélie de plus être scout.

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Message  Scalp Mar 15 Mar - 9:11

Okey je t' en dispense, à condition que tu me montres un mot de l' infirmière scolaire Laughing

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Message  stéphane Mar 15 Mar - 16:09

le mots de l'infirmière je te le mais dans l'oreille et je te pisse a la raie avec une paille de 500 m de long sans toucher les bords.

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Message  Ophélie Mar 15 Mar - 17:04

toujours aussi délicat et élégant ^^
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